Lecollectif "De l’éthique sur l’étiquette" regroupe 53 organisations qui agissent en faveur d’une consommation éthique. Il réunit des organisations de solidarité inter-nationale, associations de consommateurs, syndicats Il est membre du réseau européen Clean Clothes Campaign, présent dans 12 pays et travaille en relation avec des associations et des syndicats présents sur
About Collectif Ethique Sur L’étiquette Location Paris France Sector Textiles Type of organisation NGO Website Activities Advocacy, lobbying, citizen mobilization, media relations. Our Partners Trade unions and NGOs in the Global South; international union federations; European/global Clean Clothes Campaign network; French trade unions and organisations. Geographic Coverage To strengthen regulation in France, Europe and the UN. To improve the business models of multinational companies with headquarters in developed countries, to support workers in their struggles and promote human and labour rights in the textile industry in South East Asia, Turkey, Maghreb, East Europe. Strategies For Change Lobbying multinational firms headquarters; advocating for a strengthening of European and UN legislation; supporting workers in the South and in East Europe; media and citizen mobilisation in the North. More Members ActionAid France NGO, Agriculture, Montreuil Read More Alliance pour une Mine Responsable Europe NGO, Electronics, Extractive, Envigado, Colombie Read More Amis de la Terre France NGO, Agriculture, Extractive, France & International Read More Anti-Slavery International NGO, Agriculture, Electronics, Textiles, London Read More Banana Link Academic, Agriculture, Norwich, UK Read More BASIC NGO, Agriculture, Electronics, Textiles, Paris Read More
Collectiféthique sur l'étiquette: Créé en 1995, le Collectif Éthique sur l’étiquette regroupe des associations de solidarité internationale, des syndicats, des mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Depuis septembre 2007, le collectif s’est constitué en association (loi 1901).
Auchan ne sera pas poursuivi. Trois associations avaient porté plainte contre l'entreprise pour "pratiques commerciales trompeuses" après l'effondrement de l'usine textile Rana Plaza au Bangladesh en 2013. Des vêtements de la marque avaient été retrouvés sur justice a prononcé fin avril un non-lieu dans une enquête contre Auchan, accusé par trois associations de "pratiques commerciales trompeuses", après l'effondrement en 2013 d'un immeuble d'ateliers de confection au Bangladesh, le Rana Plaza, qui avait fait plus de 1100 morts, a indiqué jeudi le parquet de non-lieu date du 27 avril, a précisé le parquet, ajoutant que les associations avaient fait appel de cette décision le 5 mai. Ces associations Sherpa, Peuples Solidaires et Collectif Éthique sur l'étiquette avaient déposé une plainte contre Auchan en 2015 après la découverte de vêtements d'une marque du groupe "dans les décombres" du bâtiment, ont-elle expliqué dans un enquête au BangladeshElles estiment que "les engagements éthiques d'Auchan", par lesquels le groupe "se targuait de faire respecter les droits des travailleurs et travailleuses sur l'intégralité de sa chaîne de valeur" constituent par conséquent des "pratiques commerciales trompeuses".Les associations regrettent "qu'aucune enquête" n'ait pu "être effectuée au Bangladesh" en dépit d'une commission rogatoire internationale transmise par le juge d'instruction du tribunal de grande instance de Lille."Cette affaire, qui dure depuis huit ans désormais, témoigne d'une situation systémique, celle de l'impunité dont continuent de bénéficier les multinationales dans la mondialisation économique", a réagi Nayla Ajaltouni, déléguée générale du collectif Éthique sur l' dénonce une "sous-traitance sauvage a son insu"Auchan "prend acte avec satisfaction" de ce non-lieu, a indiqué un porte-parole du distributeur, qui appartient à la galaxie groupe "n'a jamais eu de fournisseur dans le Rana Plaza" et a été victime "d'une sous-traitance sauvage a son insu", a-t-il ajouté. "Après enquête interne", les fournisseurs concernés "ont été déréférencés".Dans ses motivations, le juge d'instruction pointe un manque de preuve, l'enquête n'ayant permis "de corroborer ni la réalité de cette sous-traitance sauvage", ni "la connaissance par Auchan de cette situation en contradiction avec ses engagements".L'effondrement du Rana Plaza, situé à Dacca, au Bangladesh, avait provoqué la mort de 1138 ouvriers textiles et blessé plus de 2000 autres. Cette catastrophe avait mis en lumière les conditions de sécurité déplorables dans les la tragédie, ONG et syndicats avaient dénoncé l'attitude de 29 chaînes de distribution, dont Auchan, soupçonnées d'avoir sous-traité leur production à un moment ou à un autre au Rana Plaza. Le procès du Rana Plaza, pour meurtre, a repris en février dernier au Bangladesh après plus de cinq ans d'interruption.

Extraitde la note Code de conduite réalisée par le Collectif de l'Ethique sur l'Etiquette, 1997, 4 p., Site internet : www. crc. com/etic, Pour plus de renseigenment contacter : Ben LEFETEY. Collectif de l'éthique sur l'étiquette. c/o Fédération Artisans du Monde, 67 avenue de la République, 75011 Paris, France. Tél. : (33)01 49 29 95 15. Fax : (33)01 49 29 95 25

H&M, Nike ou encore Burberry subissent une campagne de boycott en Chine pour avoir publié en 2020 des communiqués contre l’utilisation du coton cultivé dans la province du Xinjiang, où des allégations de travail forcé des Ouïghours existent. Le mouvement a été lancé après l'imposition lundi par l'Union européenne, le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada de sanctions contre Pékin sur le traitement des Ouïghours. Difficile de penser que la coïncidence soit due au hasard. Quelques jours après l'annonce, lundi, de sanctions visant la Chine par l'Union européenne UE, le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada, une campagne de boycott contre de marques d'habillement comme H&M, Nike ou encore Burberry prend de l'ampleur en que Pékin a répliqué aux pénalités en sanctionnant dix personnalités européennes et a étendu vendredi ses sanctions à neuf Britanniques ainsi que quatre entités, les déclarations de grandes marques d'habillement sur le travail forcés des Ouïghours dans les champs de coton du Xianjiang sont opportunément 2020, le Suédois H&M, l'Américain Nike, l'Allemand Adidas ou encore le Japonais Uniqlo avaient publié des communiqués dans lesquels ils s'engageaient à ne plus utiliser de coton issu des cultures de la province chinoise du Xinjiang après la publication de plusieurs études faisant état de travail forcé des Ouighours dans les champs de population, principalement musulmane et parlant une langue turcique, représente un peu moins de la moitié des 25 millions d'habitants du Xinjiang. Selon des études publiées par des instituts américains et australiens, au moins 1 million d'entre eux ont été internés dans des "camps" et certains soumis à du "travail forcé"."Vous rêvez !"Mercredi, les articles H&M ont été retirés des principaux sites de ventes en ligne chinois – Alibaba, et Pinduoduo. Les boutiques de l'enseigne sont néanmoins restées polémique s'est propagée sur les réseaux sociaux, où les prises de position contre les marques en question se sont multipliées après les déclarations de la Ligue de la jeunesse communiste, une organisation affiliée au parti au pouvoir. "Diffuser des rumeurs et boycotter le coton du Xinjiang, tout en espérant gagner de l'argent en Chine ? Vous rêvez !", avait-elle écrit, laissant entrevoir le signe d'une possible intervention de l'exécutif dans la campagne de l'annonce par plusieurs acteurs et chanteurs chinois qu'ils coupaient tout lien avec Nike, Adidas, Uniqlo, Converse ou encore Calvin Klein, dont ils ou elles étaient les ambassadeurs d'image, a accentué le mouvement de boycott."Les intérêts du pays passent avant tout", a indiqué l'actrice Tan Songyun pour mettre fin à son partenariat avec Nike, se disant "fermement opposée à toutes les actions malveillantes visant à salir [la Chine]".Selon le correspondant du Monde, Simon Leplâtre, "jeudi, sur les réseaux sociaux chinois, certains se [sont] film[és] mettant le feu à leur collection de baskets Nike"."Aucune position politique"Soucieuse d'éteindre l'incendie, la marque américaine Nike a déclaré dès mercredi que l'entreprise n'endossait "aucune position politique". Quant au communiqué du groupe suédois H&M datant de 2020, il n'était plus visible jeudi sur le site Internet du groupe – signe d'un possible marques visées ont reçu plusieurs soutiens politiques internationaux. Le Premier ministre suédois Stefan Löfven a notamment défendu vendredi la marque suédoise H&M. "Je pense que c'est très bien quand les entreprises prennent leurs responsabilités sur les conditions de travail des salariés partout dans le monde, que les salariés soient traités avec respect", a-t-il déclaré lors d'une conférence de États-Unis ont également condamné la "campagne" de "boycott" orchestrée par la Chine. "Nous saluons et nous soutenons les entreprises qui adhèrent aux lois américaines et garantissent que les biens que nous consommons ne sont pas produits grâce au travail forcé", a déclaré à la presse une porte-parole de la diplomatie américaine, Jalina boycott pourrait s'étendre dans les prochains jours à d'autres marques ayant pris position sur les cultures de coton au Xinjiang. Les noms de Zara, Gap, New Balance ou encore Fila circulaient sur le réseau social chinois Weibo jeudi."Réaffirmer l'opposition à toute forme de travail forcé"Le collectif Éthique sur l'étiquette a publié vendredi une série de messages sur Twitter appelant les marques d'habillement à "réaffirmer leur opposition à toute forme de travail forcé, notamment des Ouïghours". Le collectif craint que des marques d'habillement ne retirent leur affirmation sur le coton du Xinjiang face à la crainte de ne plus avoir accès au marché chinois. Jeudi sur Weibo, la marque allemande de vêtements de luxe Hugo Boss n'a pas hésité à affirmer qu'elle continuerait à "acheter et soutenir le coton du Xinjiang". Dans un communiqué publié sur son site, la marque affirme pourtant son opposition à utiliser du coton de cette province du nord-ouest. Interrogée par l'agence Hong Kong free press, la marque allemande a assuré n'avoir jamais utilisé de matière première "provenant directement de la province du Xinjiang".Questionnée sur le double discours destiné aux consommateurs chinois d'une part et occidentaux d'autre part, la marque ne s'est pas AFP
Interviewde Jacques Puhl, coordinateur du collectif Éthique sur l'étiquette pour Dijon Métropole, regroupant une dizaine de membres actifs et
Pour que l'industrie textile joue le jeu Ce week-end, la plage du lac du Causse accueille la dernière étape du Playa Tour 2012. Deux jours d'animations sportives et l'occasion pour le collectif Étique sur l'étiquette ESE de présenter ses actions. Un stand va être monté à proximité de l'événement pour sensibiliser le public au respect des droits humains au travail. Pierre Bonnefoy, responsable du collectif de Saint-Étienne, a fait spécialement le déplacement Notre objectif est de mobiliser les gens. Des actions concrètes sont possibles pour faire avancer les choses ». De l'action locale à l'international Tout le week-end, des prospectus seront distribués au bord du plan d'eau du Causse. Vendredi soir, une conférence sera donnée sur le sujet à la Maison du bénévolat, avenue Marx-Dormoy, à 20 h 30. L'occasion de présenter le collectif et son engagement. Créé en 1995, Étique sur l'étiquette rassemble plusieurs associations, syndicats et mouvements de consommateurs, pour modifier les comportements vis-à-vis de l'achat de textile. Le sablage des jeans par exemple est responsable de la mort de milliers de travailleurs à travers le monde. Nous essayons de pousser les grandes surfaces à ne plus acheter de jeans produits dans ces conditions ». Ce type d'actions locales est un maillon de la chaîne formée à l'international. Le collectif appartient en effet à la coalition Clean Clothes Campaign CCC, présente dans onze pays européens. Étique sur l'étiquette est aussi engagé au sein du collectif international Play Fair, qui exige du mouvement olympique des engagements pour le respect des droits des travailleurs dans l'industrie du sport. En cette année de Jeux Olympiques, le collectif a décidé d'insister sur le secteur sportif. C'est pourquoi il sera présent ce week-end, auprès de l'UFOLEP, sur la plage du lac du Causse. Chaque année, les ménages français dépensent plus de six milliards d'euros pour l'achat de vêtements ou chaussures de sport. Malheureusement, l'industrie textile nécessite une grande main-d''uvre, délocalisée dans des régions à bas salaires où les droits des travailleurs sont bafoués ». Les clubs sportifs mis à contribution L'année 2012 est ainsi l'occasion de mener des actions auprès des clubs sportifs. Un questionnaire leur a été envoyé à travers toute la France, pour qu'ils s'interrogent sur leurs fournisseurs et la provenance des produits qu'ils utilisent. Les réponses apportées devront permettre au collectif d'adapter son engagement et ses préconisations. Ce travail est aussi un moyen de pousser les clubs à s'inspirer des démarches éthiques entreprises par le collectif ESE, afin qu'ils s'impliquent plus largement dans l'action menée pour le droit des travailleurs. Thomas Liabotbrive
LeCollectif Ethique sur l’étiquette agit en faveur du respect des droits de l’homme au travail dans le monde et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats. Depuis sa création en 1995, il demande aux entreprises présentes en France et aux grandes marques françaises et internationales de veiller aux conditions de Des ressources pour l'évaluation Des repères pour l'action Click’Études Accueil » Erreur 404 Page non trouvéeErreur 404 - page introuvableVous êtes ici Accueil / Erreur 404 Aucune page ne correspond à votre recherche Désolé, l'article que vous recherchez est introuvable. Veuillez utiliser la fonction Rechercher » dans l'entête du site.
Noussoutenons le collectif "de l'éthique dans l'étiquette" "Mondialiser les droits humains au travail" Créé en 1995, le collectif Éthique sur l’étiquette regroupe des associations de solidarité internationale, des syndicats, des mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Depuis septembre 2007, le collectif s’est constitué en association (loi
Publié le 27/12/2002 à 0000 -Dernièrement, à la salle Espalioux, le collectif de l'éthique sur l'étiquette » organisait une conférence débat sur les violations des droits de l'Homme au travail et en faveur d'un commerce éthique et équitable, motif pour lequel il lutte depuis 1995. Le collectif ariégeois regroupe de nombreuses associations départementales, telle Les Francas, par exemple. Thème de cette conférence débat? Informer et sensibiliser les consommateurs. L'objectif de la campagne, lancée le 21 novembre 2002 et qui durera jusqu'en juin 2003, est de peser sur les enseignes françaises de la distribution afin qu'elles accentuent leur démarche en matière de qualité sociale, en associant davantage les acteurs sociaux. NOTRE MOT A DIRE » Le collectif dénonce notamment certaines fabriques de jouets secteur très touché qui, de par le monde, oeuvrent dans l'ignorance des droits de l'Homme au travail en exploitant le travail des enfants en particulier. Au niveau des actions, quatre pétitions ont été lancées et ont recueilli des milliers de signatures. Malgré tout, on note une amélioration depuis 1995, au niveau des entreprises de distribution, qui, à l'origine, n'avaient ne s'embarrassaient pas de principes dans le choix de leurs fournisseurs. Aujourd'hui, elles reconnaissent leur responsabilité et commencent à réagir, mais de manière très inégale » notent les responsables du collectif qui ont également rappelé les huit droits sociaux fondamentaux d'après l'organisation internationale du travail. Pour plus d'informations sur ce sujet, il est possible de consulter le site www. ethique-sur-etiquette. org ou de demander des renseignements par courrier au Collectif de l'éthique sur l'étiquette C/o Fédération artisans du Monde 53, Bd de Strasbourg 75010 Paris ou par téléphone au 01-56-03-93-54. Ce collectif lutte sous le slogan Exigeons des jouets fabriqués 100 % droits de l'Homme, Exploiter n'est pas jouer!» Il rappelle qu'en tant que consommateur, nous avons notre mot à dire!» . 306 687 328 473 585 600 98 266

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