Républiquedominicaine; Haïti; Antigua-et-Barbuda; Saint-Kitts-et-Nevis; Dominique; Fermer. Conseils aux voyageurs. Fermer . Conseils aux voyageurs - République dominicaine. Conditions de sécurité régnant actuellement dans le pays Abonnement aux Conseils aux voyageurs par courriel . Conseils aux voyageurs en bref. Quel est leur contenu et comment sont-ils mis à jour
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Lacarte MICHELIN République dominicaine : plans de ville, carte routière et carte touristique République dominicaine , avec les hôtels, les sites touristiques et les restaurants MICHELIN République dominicaine
A. — SITUATION GÉOGRAPHIQUE ET RELIEF figures 1 et 2, p. 7 et 13 1La République d’Haïti occupe la partie occidentale de l’île d’Haïti et la République Dominicaine sa partie orientale. La première a une superficie de km2 et la seconde de La République d’Haïti mesure approximativement 230 km. du nord au sud et 290 km. de l’est à l’ouest. 2Elle est comprise entre les degrés 18°02’et 20°06’de latitude nord ; 71°41’et 74°29’de longitude ouest. Elle est entourée sur trois de ses côtés par la mer. Elle est baignée, au nord, par l’océan Atlantique, au sud par la mer des Antilles ou des Caraïbes, à l’ouest par la terminaison orientale de la fosse de Bartlett, constituant le golfe de la Gonave. Le passage du Vent, d’une largeur de 90 km. environ et d’une profondeur de près de m. la sépare de l’île de Cuba. Le canal de la Jamaïque qui s’étend entre la presqu’île du sud d’Haïti et la Jamaïque a une largeur de 187 km. et une profondeur maxima de m. C’est dans ce canal que se trouve l’île de la Navase, considérée par les Haïtiens comme appartenant à leur territoire, mais qui est occupée par les Etats-Unis. C’est un îlot, situé 56 km. à Test de la presqu’île du Sud, approximativement à la latitude 18°24'. 3Les côtes septentrionales et méridionales doivent correspondre à des failles et la plate-forme continentale est, en général, étroite, comme on peut le voir sur la carte géologique p. 189. Des fosses marines profondes se rencontrent d’ailleurs à une distance relativement faible des côtes. C’est ainsi que, dans l’océan Atlantique, l’extrémité occidentale de la fosse de Brownson a une profondeur moyenne de m. au nord de la République d’Haïti, à une distance des côtes de Tordre de 60 km. Dans la mer des Antilles, la profondeur atteint déjà km., 12 km. au sud des Cayes de Jacmel. Dans le golfe de la Gonave, les profondeurs sont plus faibles, mais atteignent cependant m. à l’entrée du golfe, 15 km. seulement au nord de l’extrémité ouest de la presqu’île du Sud. 4La République d’Haïti a la forme d’une pince à deux mors dirigés vers l’ouest. Le septentrional est court, avec une large base et correspond à la presqu’île du Nord-Ouest. Le méridional, appelé presqu’île du Sud, est, au contraire, allongé et étroit. Le relief de ce pays est très accidenté, beaucoup plus même que celui de la République Dominicaine qui comporte cependant le sommet le plus élevé des Antilles le pic Trujillo m. d’altitude. C’est qu’il constitue, dans son ensemble, une chaîne complexe, constituée de massifs étroits, véritables cordillères, séparés par des plaines qui ne sont, le plus souvent, que des vallées synclinales. 5Dans cet ensemble montagneux, on peut, toutefois, distinguer deux unités 6– les chaînes méridionales qui constituent la presqu’île du Sud et sa prolongation orientale. Elles portent le nom de massif de la Hotte dans leur partie occidentale et de massif de la Selle, dans leur partie orientale. Ce sont des montagnes élevées, les plus hautes de toute la République, avec m. au pic La Selle, situé dans le massif du même nom, à 9 km. seulement de la frontière dominicaine et m. au pic Macaya, en plein cœur du massif de la Hotte. Ces deux massifs ont une direction générale ouest-est, qui tend à s’infléchir légèrement vers le SE, près de la frontière dominicaine. On considère généralement que l'île de la Gonave, située dans le golfe du même nom, représente le prolongement de la partie septentrionale du massif de la Selle. Elle atteint une altitude maxima de 776 m. au morne La Pierre. 7– les chaînes centrales et septentrionales, séparées des précédentes par la plaine du Cul-de-Sac, fossé d’effondrement, d’altitude moyenne faible environ 50 m.. Elles sont moins élevées que les précédentes et présentent une orientation générale WNW-ESE à NW-SE. Elles sont divisées en un certain nombre de massifs qui, le plus souvent, sont difficiles à séparer les uns des autres, leurs limites étant, en partie, artificielles et donc conventionnelles. 8On a ainsi, du sud au nord 9– la chaîne des Matheux et les montagnes du Trou d'Eau. Il s’agit, en fait, d’une seule et même chaîne, dont les frontières respectives sont purement arbitraires. C’est un ensemble montagneux en arc, convexe vers le S-SW, limité sur sa bordure méridionale par la plaine du Cul-de-Sac prolongée vers l’W-NW par le canal de Saint-Marc, chenal marin limité par la chaîne des Matheux, au nord, et l’île de la Gonave, au sud. On appelle chaîne des Matheux la partie qui borde le canal de Saint-Marc et montagnes du Trou d’Eau, celle qui se trouve au nord de la plaine du Cul-de-Sac. Elles atteignent les altitudes maxima de m. morne Delpech et de m. morne Napipe, respectivement. Fig. 2. — Provinces Géographiques de la République d'Haïti 10– les montagnes du Nord-Ouest, le massif de Terre Neuve, les montagnes Noires. Il s’agit d’un complexe montagneux, de direction générale NW-SE, mais avec des variations de direction assez grandes dans le détail, qui constitue, en quelque sorte, la partie axiale des montagnes du centre et du nord de la République d’Haïti. Les montagnes du Nord-Ouest et le massif de Terre Neuve forment l’épine dorsale de la presqu’île du Nord-Ouest et, dans leur ensemble, ont une forme en arc convexe vers le nord. Des plaines côtières ou subcôtières, vallée de Jean Rabel, au nord, plaine de l'Arbre, au sud, les séparent de la mer. L’extrémité occidentale de ce massif est recouverte d’une sorte de croûte plus ou moins épaisse de calcaires récifaux quaternaires qui ont donné naissance à une plate-forme étendue, secondairement émergée, le plateau de Bombardopolis, de 600 m. d’altitude moyenne. Les montagnes du Nord-Ouest ont une altitude maxima de m. piton Sondé. Le massif de Terre Neuve, qui les prolonge vers l’E-SE, s’élève à m. au morne Goreille. 11Les montagnes Noires prolongent cette chaîne en direction du SE. Elles en sont, toutefois, séparées par une petite dépression côtière, la plaine des Gonaïves. Elles constituent une chaîne imposante, en arc convexe vers le SW, de m. d’altitude pic Bonhomme, qui présente, dans sa partie orientale, une double inflexion, dans la zone où elle a été entaillée en une gorge étroite et profonde par le principal cours d’eau haïtien, la rivière Artibonite. Au sud de cette cluse, dite de Péligre, la chaîne s’infléchit vers l’est et s’unit aux montagnes du Trou d’Eau. Dans leur partie occidentale, les montagnes Noires sont séparées de la chaîne des Matheux par la vallée de l'Artibonite correspondant au cours moyen de cette rivière. Les basses vallées des rivières Artibonite, Estère et La Quinte forment une importante dépression côtière, la plaine de l'Artibonite, limitée vers l’est par les montagnes Noires. 12— le massif du Nord est le plus septentrional des ensembles montagneux. Il n’est que le prolongement NW de la cordillère Centrale dominicaine, la plus imposante et la plus élevée des chaînes antillaises. Mais le massif du Nord n’atteint que m. d’altitude maxima Gros Morne, par suite de l’abaissement d’axe de la chaîne vers l’W-NW. Le massif du Nord est brutalement coupé à l’ouest par une faille, de direction générale NNW-SSE, qui a donné naissance à une importante dépression, limitée vers l’ouest par les montagnes du Nord-Ouest, et à laquelle l’auteur a donné le nom de fosse de Gros Morne. La vallée des Trois Rivières et celle de ses affluents en découpent la partie septentrionale. 13Dans sa partie occidentale, le massif du Nord est pratiquement inséparable des montagnes Noires et leurs limites sont artificielles. Par contre, dans la région orientale, par suite de la divergence de leurs axes respectifs, il s’est développé, entre eux, une dépression intérieure, le plateau Central ou plaine Centrale. Il se prolonge en République Dominicaine par la vallée de San Juan. Son altitude moyenne varie entre 130 et 400 m. et son relief est en relation avec des phénomènes complexes de captures de rivières. 14Dans sa partie orientale, le massif du Nord est séparé de la mer par une plaine côtière, qui représente la prolongation occidentale de la vallée du Cibao, dominicaine. C’est la plaine du Nord, dont la partie septentrionale a dû s’enfoncer sous la mer, par suite d’un faillage. Dans sa partie occidentale, elle est séparée de la mer par une chaîne côtière, les mornes du Cap, fragment détaché du massif du Nord, qui atteignent une altitude de 800 m. environ. 15— L’île de la Tortue, le plus septentrional des territoires haïtiens, représente un fragment émergé d’une ancienne chaîne dont la plus grande partie est enfouie sous la mer. Elle atteint une altitude maxima de 361 m. au morne La Visite. Certains auteurs la considèrent comme appartenant au massif du Nord, d’autres comme le prolongement de la cordillère Septentrionale dominicaine. B. — VOIES DE COMMUNICATION 16Port-au-Prince, capitale de la République d’Haïti, ville d’environ habitants, est reliée directement et journellement par des lignes aériennes commerciales à Miami, La Havane, Kingston, Ciudad Trujillo, San Juan et Caracas. La durée du vol direct à Miami est actuellement de 2 h. 50’. La capitale est également desservie par un service hebdomadaire de paquebot Panama-New-York. 17Elle est reliée aux principales villes de province par un service commercial aérien exploité par l’Armée haïtienne. Les vols sont quotidiens en direction de Cap Haïtien, Gonaïves, Port-de-Paix ; trihebdomadaires pour les Cayes, Jacmel et Jérémie. De plus, il peut être organisé des vols spéciaux, sur demande. 18Il existe une seule ligne de chemin de fer pour passagers, unissant chaque jour Port-au-Prince à St-Marc et à Verrettes. Les autres voies ferrées sont utilisées uniquement pour le transport des marchandises, en particulier de la canne à sucre. 19La seule route de grande communication asphaltée unit Port-au-Prince à Cap Haïtien environ 240 km., seconde ville de la République et centre touristique. Elle traverse St-Marc et Gonaïves. La route Port-au-Prince-Les Cayes est en voie d’asphaltage. Les autres routes unissant la capitale aux villes de province sont en partie asphaltées, en partie empierrées. La plupart sont voiturables en toute saison. Toutefois, par suite de la rareté des ponts, elles peuvent être coupées au moment de la saison des pluies, pendant quelques heures ou quelques jours. Les routes secondaires ne sont carrossables qu’à la saison sèche. Il est recommandé aux voyageurs qui désirent circuler beaucoup en province d’utiliser, de préférence, un véhicule à quatre roues motrices. Il est relativement facile de trouver des chevaux et des mulets pour circuler sur les sentiers. 20Port-au-Prince est unie par deux routes à Ciudad Trujillo, capitale de la République Dominicaine. La première suit la bordure méridionale de la plaine du Cul-de-Sac et traverse Croix des Bouquets, Ganthier et Fond Parisien. Elle pénètre en République Dominicaine à Jimani. Elle est carrossable en toutes saisons. La seconde, dite route internationale, traverse Mirebalais, Las Cahobas, Belladère et entre en République Dominicaine à Comendador. Elle est en meilleur état que la précédente dans sa partie dominicaine. Mais, dans la partie haïtienne, le tronçon Las Cahobas-Belladère est de passage difficile pendant la saison des pluies. 21Les voies navigables ne sont utilisées que pour des transports d’extension et de poids limités. Il n’existe pas de canaux. C. — CLIMAT ET VÉGÉTATION 22La République d’Haïti est comprise entièrement dans la zone tropicale et son climat en présente les caractéristiques générales. Toutefois, elles sont modérées par deux facteurs particuliers le grand développement des côtes et le relief accentué. Il en résulte que dès que l’on s’éloigne des côtes, en s’élevant dans les massifs montagneux qui les bordent, les conditions climatiques s’adoucissent. Ainsi, à Pétionville, située à 8 km. seulement de Port-au-Prince et à 400 m. d’altitude moyenne, les nuits sont fraîches toute l’année et, dans la journée, la chaleur n’est presque jamais pénible. C’est d’ailleurs le lieu de résidence d’une grande partie de la population aisée de la capitale. 23On trouve des données climatiques régulières dans le bulletin météorologique publié par l’observatoire du Petit-Séminaire Collège St-Martial qui groupe les informations fournies par un certain nombre de stations réparties sur tout le territoire haïtien et est, en même temps, correspondant du bureau météorologique des Etats-Unis. La Direction générale du Ministère des Travaux Publics publie un bulletin hydrographique mais qui para t très irrégulièrement. 24La température moyenne annuelle est de 27° environ, à Port-au-Prince, située en bordure de la mer et qui est, avec Gonaïves 27°1, la ville la plus chaude de toute la République. A Pétionville 400 m. d’altitude, elle n’est plus que de 25°6 et au Refuge m. d’altitude, au voisinage de la route Kenscoff-Furcy, elle est de 17°5, ce qui correspond à un abaissement d’environ 1° par 180 m. d’élévation, en moyenne. 25La température maxima observée à Port-au-Prince a été de 38°1 24 juillet 1946 et la température minima de 15°2 4 février 1910. Le mois le plus chaud est juillet, avec une température moyenne de 28°9, à Port-au-Prince et le plus frais, janvier, avec une température moyenne de 25°5, dans la même ville. La variation moyenne de température entre le jour et la nuit est d’environ 10°. 26Les précipitations atmosphériques varient naturellement, suivant les lieux et les saisons. Les maxima et minima annuels observés s’établissent à mm. Palmiste, dans l’île de la Tortue, sur la ligne de crête, à 320 m. d’altitude et 557 mm. Gonaïves, port situé dans la plaine du même nom. Les variations sont très locales. Ainsi, dans la vallée de l’Artibonite, Mirebalais a une moyenne annuelle de pluies de mm. et La Chapelle, 22 km. en aval, de 1776 mm. seulement. 27De telles différences peuvent paraître anormales dans un pays soumis à un régime de vents dominants, les alizés, de direction générale NNE-SSW. Elles s’expliquent par l’orientation des chaînes haïtiennes, pratiquement perpendiculaires à la direction des alizés et qui entraîne un grand compartimentage. Les pentes orientées au vent sont beaucoup plus arrosées que celles situées sous le vent. A Limbé, qui se trouve au pied du flanc septentrional du massif du Nord, la moyenne annuelle des pluies s’établit à mm. ; à Ennery, qui occupe une position pratiquement symétrique, sur le flanc sud, elle est seulement de mm. 28L’altitude est également un facteur important. On admet, qu’en moyenne, les régions élevées bénéficient de précipitations 50 % supérieures à celles des plaines adjacentes. 29La combinaison de l’action des deux facteurs précédemment cités et de la température élevée expliquent que certaines plaines, situées sous le vent, aient un climat aride ou semi-aride. C’est le cas, par exemple, de la plaine du Cul-de-Sac, où les précipitations annuelles s’établissent entre 750 et mm. 30Des situations géographiques particulières interviennent également. L’île de la Gonave, de relief relativement accentué, puisqu’elle atteint 776 m. d’altitude maxima, n’a cependant qu’une moyenne annuelle de pluies de 700 mm. et seulement dans les régions les plus favorisées. C’est que les vents alizés, avant de l’atteindre, ont dû franchir une série de chaînes d’altitude plus élevée, en particulier celle des Matheux, située immédiatement au NE de l’île et constituée de plateaux d’altitude généralement supérieure à m., ce qui oblige les nuages à s’élever pour les franchir. 31L’influence des saisons se marque par l’alternance annuelle entre deux périodes de pluies et deux périodes sèches. Une des saisons de pluies correspond aux mois d’avril et surtout de mai. Elle est caractérisée par des pluies courtes et violentes, généralement en fin d’après-midi. L’autre saison pluvieuse présente des caractéristiques différentes suivant les régions dans celles qui sont exposées à l’action directe des vents alizés, c’est-à-dire la plaine du Nord, l’île de la Tortue, la côte septentrionale de l’île principale, le flanc septentrional du massif du Nord, l’extrémité occidentale de la presqu’île du Sud région de Jérémie, en particulier, elle se prolonge d’octobre au début de janvier, les précipitations les plus abondantes étant celles du mois de novembre. Elles sont, de plus, moins violentes que celles d’avril-mai, mais peuvent se poursuivre pendant plusieurs jours, parfois jusqu’à quinze, pratiquement sans interruption. On les appelle des nords ». Malgré leur faible intensité et en raison de leur continuité, ces pluies d’hiver sont, au total, plus abondantes que celles de printemps. Dans la seule journée du 12 décembre 1937, il est tombé 448 mm. de pluie à Jérémie ; dans les autres régions, protégées par des reliefs importants de l’influence directe des vents alizés, les pluies sont surtout abondantes durant les mois de septembre et d’octobre et présentent les mêmes caractéristiques que celles d’avril-mai. 32Les deux saisons sèches qui séparent celles de pluies n’ont pas des caractères identiques. Entre les pluies d’hiver ou d’automne et de printemps, il s’agit d’une véritable saison sèche, avec de longues périodes sans aucune précipitation. Au contraire, après les pluies de printemps, la saison, d’abord sèche est généralement marquée, en juillet et surtout en août par de violents orages d’après-midi. C’est ainsi que le 10 août 1928, Fond des Nègres localité située dans la partie orientale du massif de la Hotte a reçu 550 mm. de pluies, maximum de précipitation journalière de l’année, pour l’ensemble du pays. 33La République d’Haïti se trouve dans la zone soumise aux cyclones, de direction dominante est-ouest, qui se forment et se déplacent dans le bassin des Caraïbes. Mais, à cause, probablement, de l’altitude élevée des zones centrales de l'île et du faible écartement des chaînes, ce sont seulement les extrémités de l’île presqu’îles du Nord-Ouest et du Sud pour Haïti qui sont soumises à leur action directe, et encore à titre exceptionnel. C’est ainsi que le cyclone Hazel, en 1954, a éprouvé très durement la partie occidentale de la presqu’île du Sud, et, en particulier, la région de Jérémie. 34En raison de la densité élevée de population environ 125 hab./km2 et de l’économie essentiellement agricole de la République d’Haïti, le pays a été soumis à un déboisement intensif, d’ailleurs tout à fait néfaste, qui a causé la disparition de la majeure partie de la végétation primitive naturelle et de la forêt. On ne la trouve guère que dans certaines zones peu pénétrées du massif de la Hotte, en particulier le massif du Macaya qui en constitue la partie la plus élevée et où l’on peut trouver une forêt vierge d’altitude. Sur les pentes septentrionales, au vent, de l’île de la Tortue, s’est maintenue une forêt relativement dense, probablement primitive. Dans les parties élevées de certains massifs, en particulier ceux de la Hotte et de la Selle, on trouve une forêt composée en grande partie de pins et de bois précieux » acajou, taverneau, chêne », ébène, gayac, campèche. Cette forêt est, au moins en partie, secondaire. Elle comprend également des fougères, parfois arborescentes. 35Il existe également des zones étendues de savanes dans la plaine du Nord, sur les pentes septentrionales de l’île de la Tortue, dans la partie NW des montagnes Noires et du plateau Central. 36Une végétation de type xérophytique s’est développée dans les parties non irriguées des plaines à climat aride ou sub-aride, comme celles du Cul-de-Sac, de l'Artibonite, des Gonaïves et de l’Arbre. Elle est caractérisée par l’abondance des Cactacées, souvent arborescentes en particulier dans la région de la savane Désolée, qui fait partie de la plaine de l’Artibonite, de certaines Légumineuses, comme les bayahondes Prosopis juliflora, arbres ou arbustes qui rappellent les mesquites » du continent nord-américain, et enfin des Agavacées. 37Une végétation de type halophytique existe dans les parties les plus proches de la mer des plaines de l'Artibonite et du Cul-de-Sac. 38Les cultures, dans les plaines, sont représentées essentiellement par la canne à sucre, le maïs, les vivres » alimentaires patates douces, ignames, malangas, etc..., le petit mil, les pois chiches, les haricots, le riz de plaine, le sisal, les plantes à huiles essentielles, le coton et les arbres fruitiers manguiers, cocotiers, orangers, bananiers. Sur les pentes des montagnes, on trouve surtout des caféiers et des bananiers. On y cultive également le maïs, le petit mil et le riz de montagne. D. — HISTOIRE GÉOLOGIQUE 39Les plus anciens terrains d’Haïti datés grâce aux fossiles, sont de l'Aptien-Albien Reeside Jr, 1947. R. C. Mitchell 1953 a bien signalé la présence, dans le massif du Nord, d’une ammonite, hauterivienne à barrémienne. Mais sa détermination n’a pas été confiée à un spécialiste et les relations stratigraphiques dans la région semblent peu en accord avec cette hypothèse. 40Woodring & al. 1924, p. 84 ont supposé d’âge paléozoïque des roches métamorphiques épizonales calcaires schisteux et mésozonales micaschistes. Les premières se rencontrent dans l’île de la Tortue, les secondes, non en place, dans les plaines du Nord et de Léogane. L’auteur a discuté à diverses reprises cf. en particulier, 1956, p. 311 la question des roches et de l’orogénèse supposées paléozoïques et est arrivé à la conclusion qu’il n’existe aucune preuve de leur existence dans les Antilles. Les plus anciennes roches antillaises bien datées sont de l’Oxfordien supérieur Imlay, 1952, ou du Jurassique moyen Krommelbein, 1956, de Cuba. Les roches métamorphiques d’Haïti sont donc probablement mésozoïques, tout en pouvant être pré-crétacées. 41C’est, en tout état de cause, seulement à partir du Crétacé que l’histoire géologique d’Haïti peut être suivie avec suffisamment de précision. 42A la fin du Crétacé inférieur, le géosynclinal cubain a dû s’étendre sur les régions septentrionales et centrales d’Haïti. Une autre mer, dont les rapports avec le géosynclinal en question sont mal connus, a dû recouvrir Factuelle presqu’île du Sud. Les dépôts ont dû être essentiellement de type volcanique, ainsi que l’indiquent les épanchements sous-marins de basaltes et labradorites, interstratifiés avec de minces niveaux de calcaires marins, et qui présentent fréquemment une structure en pillow-lavas ». La rareté des tufs indique qu’il s’est agi d’épanchements de type fissurai. 43Tandis que, dans le sud, les épanchements sous-marins vont rester de type basaltique prédominant jusqu’à la fin du Crétacé supérieur, dans le nord, ils deviennent de type andésitique et dacitique à partir d’une époque difficile à préciser. Au Cénomanien-Turonien, les intercalations calcaires deviennent plus importantes dans le massif de Terre Neuve, mais c’est seulement au Campanien que les dépôts sédimentaires deviennent prédominants dans l’ensemble d’Haïti. Dans les régions septentrionales, la fosse géosynclinale campanienne devait être accidentée de cordillères, constituant des hauts-fonds où prospéraient les récifs de Rudistes. Dans les dépressions adjacentes, s’accumulaient des dépôts détritiques, de faciès flysch sables, argiles feuilletées, provenant de la destruction des parties des cordillères déjà émergées, tandis que dans les zones plus pélagiques prospéraient les Radiolaires, disposant, grâce aux éruptions, d’une abondante provision de silice. L’accumulation de leurs squelettes a donné naissance à des radiolarites. Au Maestrichtien, les mouvements orogéniques s’accentuant, la profondeur diminuait et, près des côtes ou sur les hauts-fonds, se généralisait la sédimentation calcaire. Dans ces zones prospéraient les grands Foraminifères. L’ensemble de ces dépôts campanio-maestrichtiens correspond à la formation des Trois Rivières. 44A la même époque, dans la fosse marine qui couvrait la presqu’île du Sud, la sédimentation était plus tranquille, en raison, probablement, de mouvements orogéniques moins intenses. Il se produisait seulement une subsidence du fond du bassin qui favorisait le développement d’épaisses séries de calcaires à grain fin, de type pélagique, comme l’indique la faune, constituée de Globigerina, Gumbelina et Globotruncana, associées fréquemment à des Radiolaires. Toutefois, vers la fin de cette période Maestrichtien, les mouvements orogéniques sont devenus plus importants et la sédimentation plus détritique marnes. L’ensemble de ces dépôts sédimentaires correspond à la formation de Macaya. Les épanchements basaltiques n’ont pas cessé complètement durant cette période et ils sont devenus plus importants encore ensuite. 45C’est probablement pendant ou immédiatement après le Maestrichtien que l'orogénèse laramienne a atteint son paroxysme. Les déformations ont été d’autant plus intenses que les régions éprouvées étaient plus proches de l’axe du géosynclinal, qui devait coïncider approximativement avec celui de la cordillère Centrale dominicaine et du massif du Nord. Un métamorphisme général, des intrusions ultrabasiques péridotites, puis basiques dolérites et finalement acides diorites quartzifères, suivies de montées hydrothermales, marquées par la présence de veines de quartz et de hornblendite quartzifère, ainsi que par la mise en place de minerais métallifères, ont affecté les régions axiales, tandis que les autres régions n’ont été soumises qu’à des plissements du type avant-fosse. 46Dès le début du Cénozoïque Paléocène et Eocène inférieur, se produit une nouvelle transgression marine sur les zones les moins affectées par l’orogénèse laramienne, c’est-à-dire les régions méridionales et centrales. Les premiers dépôts, provenant de l’érosion de la chaîne laramienne, sont naturellement très détritiques conglomérats, grès, argiles impures, peu profonds, avec de nombreuses Algues calcaires et des grands Foraminifères. Ces dépôts correspondent à la formation de Marigot et aux argiles impures de la formation Abuillot. 47La transgression s’accentue à l'Eocène moyen. Mais, à cette époque et même un peu avant, les régions se différencient. Parallèlement au massif du Nord, s’établit sur sa bordure méridionale, une fosse géosynclinale, qui s’étend sur l’actuel emplacement des montagnes Noires et se prolonge vers le NW sur celui de la presqu’île du Nord-Ouest, pour rejoindre probablement une fosse du même type qui s’étendait sur la sierra Maestra de Cuba. Elle a des caractères assez semblables à celle du Crétacé supérieur, plus septentrionale. Les dépôts y sont à prédominance volcanique, de type surtout andésitique et dacitique dans les montagnes Noires, et basaltique dans la presqu’île du Nord-Ouest. Mais les épanchements tranquilles qui se produisent durant l’Eocène inférieur font place, au cours de l’Eocène moyen, à des éruptions violentes, ainsi qu’en témoignent les épaisses séries de tufs, parfois accompagnées de brèches, de la formation de Pérodin, ainsi que celles qu’on trouve dans la presqu’île du Nord-Ouest. La sédimentation reste cependant essentiellement marine, car on rencontre des intercalations de calcaires à grands Foraminifères, à odeur de pétrole. Dans la presqu’île du Sud et la chaîne des Matheux, au contraire, l’accentuation de la transgression marine se marque par le caractère plus pélagique des dépôts calcaires crayeux à silex, avec Globigerina et Miliolidae, tandis que, sur les hauts-fonds et au voisinage des côtes, se développent des calcaires récifaux ou à grands Foraminifères. La subsidence des fonds marins permet la formation d’épais dépôts du même type, pouvant atteindre une puissance de plusieurs milliers de mètres. Au nord du géosynclinal des régions centrales, les dépôts éocènes moyens ont sensiblement les mêmes caractères que dans les régions méridionales. Toutefois, ils sont, dans l’ensemble, plus détritiques, car, par suite de l’élévation considérable de la chaîne laramienne dans ces régions, la transgression marine n’a pratiquement débuté qu’à cette époque. Dans certaines zones, en particulier celle de St-Michel de l’Atalaye, l’Eocène moyen et le début de l’Eocène supérieur restent assez détritiques. Ils correspondent à la formation Crête Sale. 48L’Eocène supérieur a été marqué par une régression marine en relation probablement avec les mouvements orogéniques qui se sont produits à cette époque, en particulier suivant l’axe du géosynclinal montagnes Noires-massif de Terre Neuve-montagnes du Nord-Ouest et sierra Maestra de Cuba. Ils ont été probablement très intenses dans cette zone et ont été accompagnés d’intrusions de diorites et de microdioritcs quartzifères, tandis que, sur la bordure septentrionale de la fosse, avaient lieu des épanchements basaltiques, surtout sous-marins et des intrusions doléritiques. 49Il est probable que ces mouvements se sont également fait sentir dans la presqu’île du Sud. Le déversement des séries éocènes ou plus anciennes vers le nord, parfois vers le sud, qu’on y observe, semble lié à l'orogenèse de la fin de l'Eocène. 50Une nouvelle transgression se produit au début de l'Oligocène et s’accentue rapidement. En effet, les dépôts de cette période sont surtout représentés par des calcaires crayeux à silex, avec des Globigerina et des Miliolidae, indiquant une sédimentation de type pélagique prédominant. La fosse marine principale parait avoir subi un nouveau déplacement vers le sud, par rapport aux périodes antérieures, et son axe principal semble coïncider avec celui de la chaîne des Matheux et des montagnes du Trou d’Eau. C’est, d’ailleurs, dans cette région que la sédimentation va garder le plus longtemps son caractère calcaire, puisque la base du Miocène correspond à des dépôts de ce type, avec, toutefois un caractère moins profond que ceux de l’Oligocène, ainsi que l’indique l’abondance des Peneroplidae. De petites éruptions volcaniques, de type basaltique, marquent cette période, dans la région axiale de la fosse. 51A la fin de l'Oligocène, dans les autres régions, les prémices de l’orogénèse mio-pliocène se font déjà sentir. La mer commence à régresser et à se cantonner dans les plaines et plateaux peu élevés actuels, les dépôts deviennent de plus en plus détritiques, mais restent, dans l’ensemble à grain fin. Ils constituent la formation de Madame Joie et la formation de la Crête. 52Au Miocène inférieur, le phénomène s’accentue. Par suite, des déformations orogéniques, certaines régions sont abaissées et sont soumis à une subsidence qui favorise l’accumulation de sédiments à faciès flysch », sur des épaisseurs de 700 à m. Les dépôts qui, au début, sont représentés par des argiles plus ou moins grossières et feuilletées et des grès à grain fin, deviennent progressivement plus grossiers grès et conglomérats et la mer moins profonde. Ils correspondent à la formation de Thomonde et à la formation de la rivière Grise. Dans la partie NW du massif du Nord, ont lieu, à cette époque, de petites éruptions basaltiques. 53Au Miocène moyen, le domaine marin se rétrécit encore et la sédimentation prend un caractère franchement littoral. La subsidence des zones déprimées continue et il se développe une sédimentation de type molasse ». Elle caractérise la formation de Las Cahobas et la formation du morne Delmas. La proximité des côtes se marque par le développement de faciès lagunaires et d’eau douce, avec dépôts de gypse et formation de lignites, qui caractérise, en particulier, la formation de Maïssade. 54Au Miocène supérieur, la régression marine s’accentue, les mouvements orogéniques deviennent plus intenses et, pratiquement, Haïti devient entièrement continentale. Il est à noter que l’orogénèse haïtienne de cette époque est la plus intense qui ait été observée dans l’ensemble des Antilles. 55Les conditions restent sensiblement les mêmes au Pliocène. Il y a, toutefois, lieu de noter que, dans la dépression syncbnale carrefour Fauché-Jacmel, se développe un détroit marin, unissant le canal de la Gonave à la mer des Antilles et caractérisé par une sédimentation détritique grossière conglomérats, grès, sables, avec cependant des zones récifales. C’est la formation de la rivière Gauche. Dans les autres régions, l’érosion provoque la formation d’une pénéplaine, couverte de dépôts continentaux qui correspondent à la formation de Hinche. 56Au Pléistocène, par suite du relâchement des forces de compression orogéniques se développe un faillage normal qui entraîne la formation de horsts et de grabens

Loindes images de carte postale, la République dominicaine, petit État des Caraïbes, est confrontée à la déforestation massive et au développement de l’activité minière. Une situation qui met en péril l’environnement et les populations locales, en particulier près de la frontière haïtienne. Après plusieurs mois de réu­nions virtuelles pour cause de pandémie, une

Carte routière imperméable de Haiti et de la République Dominicaine éditée par ITM. Cette carte détaillée couvre au recto, Haiti à l'échelle 1 / 350 000 et, au verso, la république Dominicaine à l'échelle 1 / 400 000. Plans de port au Prince et de Santo Domingo en encart ainsi que l'île de la Tortue. Cartographie du relief et index des villes inclus. ISBN / EAN 9781553411741 Date de publication 2017 Echelle 1 / 350 000 1 cm = 3,5 km & 1 / 400 000 1 cm = 4 km Impression recto-verso Dimensions pliée 24,6 x 10,3 x 0,5 cm Dimensions dépliée 100 x 69 cm Langue anglais Poids 75 g Pource qui est est de passer la frontière je l'ai passée aller retour avec les bus caribe tour. il y a une fouille qui prend un certain temps au passage de la frontière. Je me suis rendue en Haïti il y a environ 7 ans, c'est extrèmement pauvre. Comme le disent certains c'est assez dangeureux même si je n'ai eu aucun soucis pdt que j'y La frontière entre les deux Etats qui se partagent l'île de Saint Domingue s'est créée, comme presque toutes les frontières, par le moyen de guerres suivies de traités. Mais ici, les négociations des traités furent particulièrement longues et chaotiques, de sorte que les deux pays vécurent côte à côte sans frontière définie pendant près de 150 ans du temps de la période coloniale et, qu'après les indépendances, il fallut encore un peu plus de 150 ans pour arriver à fixer la frontière actuelle. Il en résulte que les résumés qu'en font certains historiens sont viciés par des approximations et des simplifications qui donnent une fausse idée de la réalité. C'est l'ambition de ce livre que de retracer cette histoire de frontières dans toute sa complexité Biographie de François Blancpain François Blancpain, ancien élève de l'Ecole nationale de la France d'outre mer et du CPA, a produit plusieurs ouvrages qui couvrent l'ensemble de l'histoire de Saint Domingue, des origines au milieu du XXe siècle, ainsi que l'histoire des relations de la République d'Haïti avec la France et avec les Etats-Unis. Le présent ouvrage porte sur l'un des aspects des relations entre les deux Etats qui se partagent l'île, la République d'Haïti et la République dominicaine, depuis l'origine de la colonisation jusqu'à la période actuelle

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LaRépublique-Dominicaine partage l'île d'Hispaniola avec Haïti. L'île d'Hispaniola est la deuxième plus grande île des antilles après Cuba, avec une superficie de 73 930 km². Elle est située au sud du 20e parallèle. Elle mesure 650 km environ d'Est en Ouest et 250 km du Nord au Sud. La République Dominicaine occupe les 2/3 de l'Est

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