Sujet Re: Je suis le capitaine de mon ùme, maßtre de mon destin Mar 8 Fév - 8:52. Il était une fois Lena était une adorable fille vivant auprÚs de ses parents. Sa mÚre décéda, elle alla vivre au manoir des Luthor avec son pÚre qui à déjà un fils Lex. Elle devient la fille adoptive de Lilian Luthor, qui est aussi une folle comme
La pluie. La pluie battante. Une averse offrant sa mĂ©lodie, lourde, implacable, sâĂ©crasant sur le sol et le noyant sous une couche de froid inĂ©vitable. Les gouttes filantes, Ă peine nĂ©es quâelles sâĂ©clatent dans les flaques, opĂ©rant une chorĂ©graphie millimĂ©trĂ©e. La pluie appelle la pluie, et le Passager Noir se rĂ©veille, il ordonne, il convainc, il me contrĂŽle. Nous avons faim, lui comme moi, nous avons attendu plusieurs semaines, tout devait ĂȘtre parfait. Et ce soir, le vent souffle, il nous murmure que le moment fatidique arrive, que lâheure approche. Et nous sommes prĂȘts, tout est parĂ©, il ne manque plus que notre envie avide mâenraidit, ce besoin parcourait chacun de mes sens avec plus de fĂ©rocitĂ© Ă chaque heure, depuis trois jours. Je restais lĂ , sans agir, sans bouger malgrĂ© cette soif intarissable, il fallait encore attendre. Le rire de cet ĂȘtre qui habite mon corps, cette personne que je suis, mais qui nâest pas moi, il sait. Comme moi, il patiente, câest mon passager, ma part sombre, et il me dit dâĂȘtre calme. Toute cette attente, sans elle, le rituel nâaurait pas de saveur, tout devait ĂȘtre parfait. Les corbeaux croassent dans un chant sinistre, sâĂ©chauffant la voix avant de sonner le glas, avant dâentamer le requiem. Eux aussi le savent, câest La nuit. Cette nuit nâest pas comme les autres. Ils sont prĂȘts. PrĂȘts Ă accueillir lâĂąme quâils aideront Ă passer, lâĂąme que je leur envoie. La pleine lune se cache derriĂšre les nuages, elle dĂ©tourne le regard. Elle dĂ©clenche chez les hommes plus quâelle ne peut se permettre de voir. Fermer les yeux, plutĂŽt que de voir les consĂ©quences. Je ne suis pas comme elle, moi, je regarde, jâĂ©pie et je guette⊠je Passager se tait, câest pour bientĂŽt, le calme avant la tempĂȘte. Lâaverse continue, sa complainte nâest pas encore finie. Mes veines se gonflent, mon pouls sâaccĂ©lĂšre, je reste placide, les tĂ©nĂšbres sont mon royaume. Je suis moi Ă prĂ©sent, aucun masque de tromperie, seulement moi et ce besoin tranchant. Il rit de nouveau, il voit Ă travers mes yeux et il savoure le spectacle. BientĂŽt, il sera bientĂŽt assouvit et sa voix disparaĂźtra, il ne parlera plus, jusquâĂ ce que le besoin revienne, et il reviendra. Il nâest pas tard, mais la nuit est prĂ©sente, et quand le jour prend sa place, il fait aussi sombre. Le fil du temps nâemprunte pas la mĂȘme direction, ici. Les cours de rattrapage de lâinstituteur Menard finissent Ă vingt-deux heures. David Menard, un homme bon, son travail est exemplaire et il nâhĂ©site pas Ă prendre sur son temps privĂ© pour aider ses Ă©lĂšves. Il fait tout pour eux, pour leur rĂ©ussite, il les aime. Un homme bon, vraiment, une personne qui porte le masque du conseiller, du confident, le masque de lâhomme bon. Personne ne le sait, ou personne nâose le dire, et moi, moi je me tais, jâattends. Une lumiĂšre, elle sâinsinue difficilement entre les gouttes de pluie pour parvenir jusquâĂ moi le premier signal. La porte grinçante en bois massif sâouvre, je parviens Ă lâentende dâici. Deux personnes passent sous le porche, lâinstituteur Menard, ainsi quâune fillette de dix ans. Il ne lui Ă rien fait, non, absolument rien, les enfants sont sa passion, il ne franchira pas la limite autorisĂ©e. Cela fait dix annĂ©es quâil cherche Ă se racheter, une dĂ©cennie quâil est honnĂȘte. Les personnes changent-elles vraiment, ont-elles le droit au pardon, Ă une seconde chance ? Non, pas quand elles nâont pas payĂ©, pas quand ça devient trop facile dâoublier pour repartir de zĂ©ro. Cette chance, Menard ne la mĂ©rite pas, par sa faute, certains nây ont pas eut le rire devient de plus en plus perçant, je ne pouvais plus lâignorer, câĂ©tait lâheure. Tout Ă©tait parfait. La fillette serrait son instituteur dans ses bras, quelle chance elle avait de lâavoir, il partait de la maison. Menard dĂ©pliait son parapluie, il avait son vaisseau non loin, juste lĂ , Ă vingt mĂštres, il sâempressait de le rejoindre. Il est maintenant Ă bord, il va pouvoir partir et se reposer, son travail a Ă©tĂ© dur, mais bien geste vif et prĂ©cis, jâai placĂ© la lame tranchante de mon couteau contre sa gorge. Il eut un sursaut dâĂ©tonnement, mais comprit bien vite quâil devait rester calme. Du sang coulait dĂ©jĂ lĂ©gĂšrement, quelque chose quâil aurait Ă©tĂ© facile dâĂ©viter en usant dâun autre outil. Jâavais lâembarra du choix, mon Single Action Army, un fil de pĂȘche trĂšs rĂ©sistant, mais non, je voulais ce couteau, il me voulait. PlacĂ© derriĂšre Menard, jâentendais son souffle saccadĂ©, perturbĂ©, je le tenais enfin. Il resta muet, sachant que câĂ©tait encore le mieux Ă faire. Savait-il pourquoi je faisais irruption dans sa vie ? Jâen doute, en dix annĂ©es, on en oublie des choses. Bonsoir, Docteur Menard, ? Je ne suis pas docteur !-Oh non, bien sĂ»r, dis-je, plus depuis dix ans, je me trompe ? » Il ne disait rien, avalait une gorgĂ©e, et son visage sâest transformĂ© en une grimace de douleur lorsque sa gorge racla ma lame. Menard allait mâobĂ©ir, cela ne faisait aucun doute, il avait bien trop peur pour se rebeller. Sâil avait sans doute pensĂ© Ă un vol dans les premier temps, le simple fait de lâappeler docteur lui remit les idĂ©es en place. Le passager noir, lui, il riait aux Ă©clats, se dĂ©lectait avec joie de cette scĂšne, ce nâĂ©tait pas Ă©vident de le contenter. Menard avait eu de la chance, il Ă©tait en tĂȘte de ma liste avant que je ne tombe sur Everett Shepard, qui mâa terriblement déçu. Tuer un homme, ainsi, sans avoir tout prĂ©parĂ© au prĂ©alable, me mettant en danger inutilement⊠Le vingtiĂšme rattraperait lâhonneur, des semaines dâattente qui rĂ©compenseront cette patience indĂ©fectible. Allez jusquâĂ la colline du couchant, ordonnais-je. - Mais pourq- - La colline, maintenant. »Il alluma le moteur qui ne couvrait mĂȘme pas le bruit de la pluie. Vraiment, en matiĂšre de silence, la Shin-Ra savait y faire dans la confection de leurs produits. Ă cette heure, personne ne sortait, il y avait trop Ă faire en journĂ©e avec la Coalition Noire, le repos Ă©tait essentiel. Je ne dors jamais beaucoup, jâai su mâadapter Ă ma vie, la journĂ©e, employĂ©e modĂšle, dans la norme des soldats, mais parfois, la nuit, le passager se montre impatient. CâĂ©tait lui qui nous conduisait, jâĂ©tais autant un spectateur que lâĂ©tait Menard, Ă la diffĂ©rence prĂšs que je savais ce qui allait se produire et sommes tous les trois arrivĂ©s, rien Ă lâhorizon ne nous regardait, sauf peut-ĂȘtre deux corbeaux curieux. Tournez-vous vers la portiĂšre, dis-je calmement, et restez assis. » Câest ce quâil fit, bien entendu, pourquoi en serait-il autrement. Je lui attrapais un poignet, y attachait la premiĂšre boucle dâune paire de menottes, puis lâautre. Sortez, lui chuchotais-je Ă lâoreille. » La portiĂšre sâouvrit laissant une vague de froid pĂ©nĂ©trer le vĂ©hicule. Jâallais le suivre lorsque que le rire se transforma en un grommellement Ă©trange, jâoubliais quelque chose. Jâattrapais le parapluie et le gloussement rauque revint, câĂ©tait visiblement ça. Jâouvrais le parapluie et je sommais Ă Menard de se tenir prĂšs de moi, Ă quelques centimĂštres Ă peine. Nous avançùmes assez rapidement, le plus important ne se trouvait pas ici. Trois minutes plus tard, il y avait un homme qui titubait, un clochard, mais qui nâen restait pas moins un tĂ©moin. Je me suis collĂ©e Ă Menard, de cette façon, ainsi quâavec la pluie et le manque de luminositĂ©, nous apparaissions comme deux simples amants lors dâune ballade amoureuse. Le clochard ne pouvait pas voir les menottes dans le dos de Menard et je lui passais lâenvie de les montrer en posant la pointe de mon couteau contre son dos. La chance, jâavais eu de la chance, oui, grĂące au passager qui plus que tout, aurait refusĂ© de laisser partir le terrasse du couchant se dĂ©voila sous nos yeux, timide, enveloppĂ©e dâune nappe de brume, elle en aurait vu des horreurs, elle ne laisse pas tout le monde pĂ©nĂ©trer sur ses terres et agir impunĂ©ment. Jâai dĂ©couvert lâun des secrets quâelle cachait jalousement, ce nâavait pas Ă©tĂ© facile, mĂȘme trĂšs difficile pour tout dire. Elle et Menard, une belle bande de cachotiers, mais tĂŽt ou tard, la vĂ©ritĂ© remonte Ă la surface, ce qui finira par mâarriver, Ă moi aussi. Pas aujourdâhui, nous avons encore de belles annĂ©es devant nous, avant cette inĂ©luctable chute. Par lĂ , lui dis-je en montrant du doigt un Dâaccord, bafouilla-t-il avec effort. »Nous sommes entrĂ©s, jâai refermĂ© le parapluie et jâai attrapĂ© le bras de Menard. Il nây avait plus une seconde Ă perdre, je le tirais en avant en prenant un pas forcĂ© vers lâendroit que jâai mis du temps Ă trouver. De nombreux mĂštres nous sĂ©paraient encore de la destination, le souffle de Menard sâaccentua, percutant vivement les parois humides du tunnel crĂ©ant un Ă©cho, tel un murmure dâeffroi. Mon passager rĂ©pondit avec un rire de plus en plus perçant Ă mes oreilles, jâĂ©tais la seule Ă pouvoir le y voilĂ , un cul de sac avec au fond, une masse et une pelle. Je dĂ©tachais prudemment les bracelets de Menard et lui faisais signe dâaller prendre la mase. Il se massait les poignets encore rougis au contact des menottes et se dirigeait vers lâoutil indiquĂ©. Je me tenais Ă cinq mĂštres de lui et observait avec attention. Quâest-ce que je dois faire avec ça ?- Vous cassez les dalles, rĂ©pondis-je, lĂ oĂč il y a des croix. »Il avala sa salive avec amertume, ce que je lui demandais de faire lui glaçait le sang. CâĂ©tait pleinement voulu, cela faisait bien trop longtemps quâil ne sâĂ©tait pas regardĂ© dans un miroir, une glace qui reflĂšte une image juste de la personne quâil est. Il sâattela Ă la tĂąche forcĂ©e de dĂ©molir les dalles. Menard nây mettait pas tout son cĆur, il y allait lentement, espĂ©rant que quelque chose lâoblige Ă sâarrĂȘter. Rien ne vĂźnt, seulement lâĂ©cho des coups de masse et moi, qui le regardions toujours. AprĂšs deux minutes de martellement intensif, il changea dâappui, mais continua Ă frapper de la mĂȘme façon. Lâidiot, sâil pensait que je nâallais pas comprendre ce quâil voulait⊠De cette façon, il perdait une force considĂ©rable Ă moins de frapper autre chose. Il commença Ă pivoter, mais quand sa tĂȘte se tourna vers moi, jâavais dĂ©jĂ mon SAA braquĂ© sur lui, avec sa tĂȘte en ligne de mire. Je doute que ce soit trĂšs judicieux docteur, lançais-je, prenez la pelle. »Il soupirait, plus en rĂ©alisant sa bĂȘtise quâautre chose. Vraiment parfait tout ça, jâavais tout prĂ©vu, mĂȘme sa tentative de rĂ©bellion. MĂȘme sans mon pistolet, Ă mains nues, je lâaurais mis en Ă©chec, mais je ne voulais pas lâabĂźmer. Cela aurait Ă©tĂ© dâune tristesse dĂ©plaisante, mais tout se passait Ă merveille. Menard prit la pelle et se mit Ă enlever la terre qui Ă©tait sous les dalles brisĂ©es. Il fut obligĂ© de creuser pendant dix longues minutes avant que la pelle nâheurte quelque chose. Le docteur fut pris de terribles tremblements, il essuyait maladroitement son front avant de tomber en arriĂšre. Son rĂ©flexe Ă Ă©tĂ© de ramper en arriĂšre jusquâĂ ce trouver contre le mur, il savait ce qui se trouvait lĂ . Des enfants, nâest-ce pas ? Dis-je avec une voix Ce.. Ce nâĂ©tait⊠Jây Ă©tais obligĂ© !- Pas Ă moi, je ne suis pas un idiot, Ă©pargnez-moi ces conneries, dis-je avec dĂ©goĂ»t. »JâĂ©tais maintenant certaine de sa culpabilitĂ©, il venait dâavouer. Jâai longuement hĂ©sitĂ© avant que je le soupçonne, mais je le tenais. Le travail administratif est formidable, il permet souvent de trouver la piĂšce manquante dâun puzzle compliquĂ©. Je ne me rappelle pas comment je suis tombĂ©e sur les registre de la dĂ©mographie vieille de dix ans de la citĂ© du crĂ©puscule, mais jâai Ă©tĂ© captivĂ©e. Pas moi de cinquante morts dâenfants en trois mois, jâai dâabord cru quâil ne sâagissait lĂ que du rĂ©sultat de lâĂ©pidĂ©mie qui avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e. Mais tout de mĂȘme, cinquante, il y a de quoi ĂȘtre curieuse. Ce qui mâa le plus mis la puce Ă lâoreille nâest autre que le vaccin qui a Ă©tĂ© dĂ©couvert exactement Ă la mĂȘme Ă©poque, dâoĂč le fait que les dĂ©cĂšs ont chutĂ©s. Dans ce cas, pourquoi la disparition de ces chers et adorables enfants a continuĂ© une bonne semaine ? Les mĂ©rites du vaccin avaient Ă©tĂ© vantĂ©s, un remĂšde miracle, agissant sans effet secondaire et sans attente. TrĂšs tirĂ© par les cheveux pour que jây trouve lĂ une raison quelconque Ă des meurtres. Sauf quand jâai remarquĂ© une chose, dix enfants dont la cause de la mort avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e comme Ă©tant celle du virus nâont pas Ă©tĂ© retrouvĂ©s. Suspect, la cause de la mort sans le moindre Ă©lĂ©ment pour le prouver. Jâai cherchĂ© un peu plus loin, il mâaura fallu cinq jours pour voir un point rĂ©curant chez les dix disparus, le mĂȘme docteur, Ă savoir Menard. Jouons franc jeu, pourquoi sâen prendre Ă des enfants ?- LâĂ©pidĂ©mie Ă©tait vorace, rĂ©pondit-il sans chercher Ă se protĂ©ger, plus elle progressait et pire câĂ©tait. Les enfants sâen retrouvaient paralysĂ©s Ă vie, mais ça commençait par petite Ă©tape. Les premiers symptĂŽmes nâĂ©taient que des doigts difficiles Ă plier, un peu comme une sclĂ©rose. AprĂšs avoir vu trois enfants mourir sous mes yeux car ils nâĂ©taient mĂȘme plus capable de se nourrir, avec ou sans aide, câen Ă©tait trop. Je nâai pas fais ça de gaietĂ© de cĆur, vous savez⊠- Pourtant, il y avait un vaccin, mais je ne le savais pas encore, ce jour lĂ , jâen ai soulagĂ© dix qui commençaient Ă montrer des symptĂŽmes, ce nâest que le lendemain que jâai reçu le remĂšde⊠»SoulagĂ©, il aurait attendu un jour, ils lâauraient vraiment Ă©tĂ©s⊠Quand on sait que la maladie mettait deux semaines Ă tuer aprĂšs les premiers stigmates, il aurait pu attendre. Dans toute cette affaire, le moins aisĂ© avait Ă©tĂ© de trouver oĂč les corps avaient Ă©tĂ© dissimulĂ©s. Câest Ă cette Ă©poque que le tunnel avait Ă©tĂ© arrangĂ©, dalles, tout avait Ă©tĂ© mis en bon Ă©tat par de longs et fastidieux travaux. Jâavais rendu une visite Ă lâappartement de Menard, aprĂšs avoir Ă©tudiĂ© ses faits et gestes. Aussi Ă©trange que cela puisse paraitre, il avait laissĂ© des traces derriĂšre lui, dĂ©libĂ©rĂ©ment. Un simple schĂ©ma de lâarchitecture du tunnel avec des endroits prĂ©cis notĂ©s dâune croix. Jâai vĂ©rifiĂ© en creusant et jâai tout remis en place. Vous regrettez ? Dis-je en simulant la Bien sĂ»r ! Quâes-ce que vous croyez ? Je ne suis pas un monstre !- Moi, si. »Il tourna la tĂȘte vers moi lorsquâil comprit ce que je mâapprĂȘtais Ă faire, mais trop tard, il Ă©tait trop tard pour lui. Une injection de tranquillisant sâest infiltrĂ©e dans sa nuque, le plongeant dans un profond sommeil, câĂ©tait la derniĂšre fois quâil sâendormait, la toute derniĂšre fois. Lorsque je tue un homme tel que Menard, jâaime que ce soit parfait, jusquâĂ la prĂ©sentation du corps inanimĂ©. Il allait devenir une Ćuvre dâart, jâavais le temps nĂ©cessaire Ă le faire contentieusement, il mĂ©ritait une belle mort, aprĂšs tout, il aimait les enfants, lui aussi. Jâai allongĂ© le corps droit comme un I. Jâai vĂ©rifiĂ© son pouls, il se faisait de moins en moins prĂ©sent. Il avait la chance de pĂ©rir dâune overdose sans aucune douleur. Jâai dĂ©terrĂ© les restes de corps enfantins, pour les placer cĂŽte Ă cĂŽte, cinq Ă gauche de Menard, cinq Ă droite. Tous Ă©taient placĂ©s de la mĂȘme façon. La personne qui dĂ©couvrirait ça, alerterait les forces de lâordre. Tout le monde trouver vite le lien entre cet ancien docteur et dix enfants portĂ©s disparus. Ils se tenaient la main, comme un groupe dâami, personne ne trouvera cette image belle, mais moi si. Elle offrait un paradoxe, de jeunes et purs enfants, salis par la terre, mĂ©connaissables, des parties de corps en moi. Au centre, un assassin Ă lâĂąme torturĂ©e pourtant Ă lâapparence si propre, dĂ©licate. Jâai coupĂ© une mĂšche de cheveux Ă Menard pour finaliser, jâavais mon trophĂ©e, suis partie en ayant attrapĂ© le parapluie. Quand je suis sortie, plus la moindre pluie, le vent avait cessĂ© et les corbeaux Ă©taient absents. MĂȘme le passage ne riait plus, sa faim Ă©tait passĂ©e, jâĂ©tais seule. Jâai laissĂ© le vaisseau de Menard oĂč il Ă©tait, je nâavais rien laissĂ© de compromettant, jâavais portĂ© des gants toute la soirĂ©e. Finalement, nâayant pas besoin de parapluie, je lâai laissĂ© par terre, juste lĂ . Le clochard que jâavais vu plus tĂŽt se dirigeait vers moi, sans mâapercevoir. Il aura de quoi sâabriter de la prochaine pluie, mais dans le fond, ça mâĂ©tait bien Ă©gal.
Jesuis le maĂźtre de mon destin, le capitaine de mon Ăąme ! William Ernest Henley. â Si la culture peut se dĂ©finir, selon Jean Rostand, comme « ce que lâhomme ajoute Ă lâhomme », lâĂ©ducation est la marque concrĂšte de lâhumain apposĂ©e lĂ oĂč ce dernier nâĂ©tait que virtuel. Celui qui nâa jamais pĂ©chĂ© nâest pas un ĂȘtre
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Je suis le capitaine de mon Ăąme », extrait de ce poĂšme, nous rappelle quâil y a en nous ce lieu intĂ©rieur et personnel dont nous avons la responsabilitĂ©. Ce lieu oĂč nous restons libre et capable de dĂ©cision. Un lieu qui fait de nous une personne unique, oĂč personne ne peut dĂ©cider pour nous.
Mes respects mon capitaine L'un n'empĂȘche pas l'autre PossĂ©dez vous des questions ? non tu es pangolinTENEBRE Dans l'armĂ©e de l'air spermoutin Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210251 stillmaticc a Ă©crit non tu es pangolinTENEBREl'un n'empĂȘche pas l'autre Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210232 PossĂ©dez vous des questions ?Actif ou passif ? Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210258 QueenAllyson a Ă©crit Dans l'armĂ©e de l'air spermoutin Pardon ?Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210312 Fistemilou a Ă©crit Tu vas bien ?oui [210320] Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210251 stillmaticc a Ă©crit non tu es pangolinTENEBREl'un n'empĂȘche pas l'autreĂa dĂ©pend Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210334 QueenAllyson a Ă©crit Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210232 PossĂ©dez vous des questions ?Actif ou passif ? ça dĂ©pend Para, pilote ou planquĂ© ? Le 24 aoĂ»t 2022 Ă 210511 Valfary3 a Ă©crit Para, pilote ou planquĂ© ?oui Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
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Invictus Dans la nuit qui mâenvironne, Dans les tĂ©nĂšbres qui mâenserrent, Je loue les Dieux qui me donnent Une Ăąme, Ă la fois noble et fiĂšre. Prisonnier de ma situation, Je ne veux pas me rebeller. Meurtri par les tribulations, Je suis debout bien que blessĂ©. En ce lieu dâopprobres et de pleurs, Je ne vois quâhorreur et ombres Les annĂ©es sâannoncent sombres Mais je ne connaĂźtrai pas la peur. Aussi Ă©troit soit le chemin, Bien quâon mâaccuse et quâon me blĂąme Je suis le maĂźtre de mon destin, Le capitaine de mon Ăąme. William Ernest Henley â 1875 Out of the night that covers me, Black as the pit from pole to pole, I thank whatever gods may be For my unconquerable soul. In the fell clutch of circumstance I have not winced nor cried aloud. Under the bludgeonings of chance My head is bloody, but unbowed. Beyond this place of wrath and tears Looms but the Horror of the shade, And yet the menace of the years Finds and shall find me unafraid. It matters not how strait the gate, How charged with punishments the scroll, I am the master of my fate, I am the captain of my soul. William Ernest Henley â 1875 34RL1H3 Copyright Institut Français de Psychanalyse
citation1. Je suis le maßtre de mon destin. Je suis le capitaine de mon ùme. Invictus (1875) de. William Ernest Henley. Références de William Ernest Henley - Biographie de William Ernest Henley. Plus sur cette citation >> Citation de William Ernest Henley (n° 7433) - Ajouter à mon carnet de citations. Notez cette citation : - Note
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CapitaineBrineybeard (Ă©pisode 15) : un pirate capitaine de son seul Ă©quipage: lui-mĂȘme ! Dans le jeu, c'est un pirate sans aucune vĂ©ritable personnalitĂ©, se contentant juste d'avoir l'air d'un mĂ©chant qui fait appel de temps en temps Ă quelques amis animaux marins pour se battre. Dans le show, il n'aspire qu'Ă un seul but : traverser l'ocĂ©an pour retrouver sa femme. Cuphead et
ï»żNiviere David/ le 23 aoĂ»t 2012 et personne ne lâa oubliĂ©. A cette date, lâun des animateurs emblĂ©matiques du PAF nous quittait des suites dâun cancer du pĂ©ritoine et de lâestomac. Cet animateur nâĂ©tait autre que Jean-Luc Delarue, un des chouchous de France 2 dont la chaĂźne confiait les clĂ©s de nombreux programmes comme notamment Ăa se discute ou le cĂ©lĂšbre Toute une histoire. Cette derniĂšre Ă©mission Ă prĂ©sent "remplacĂ©e" par Ca commence aujourdâhui, dirigĂ©e par Faustine si câest sur France 2 que Jean-Luc Delarue a connu le succĂšs, TF1 lui rendait pourtant hommage ce mercredi 24 aoĂ»t. De nombreuses personnalitĂ©s intervenaient dans lĂ©mission Jean-Luc Delarue, 10 ans dĂ©jĂ , afin de se remĂ©morer de tendres souvenirs passĂ©s avec lâanimateur qui nous quittait alors quâil Ă©tait seulement ĂągĂ© de 48 ans. Bien quâil nâexiste aucun Ăąge pour partir, pour Christophe Dechavanne, mourir sans avoir passĂ© la cinquantaine, câest trĂšs larmes impossible Ă retenirEn effet, celui qui se faisait tacler par Alain Marschall le 16 aoĂ»t dernier aprĂšs avoir annoncĂ© son retour aux cĂŽtĂ©s de LĂ©a SalamĂ© sur France 2, Ă©tait trĂšs proche de Jean-Luc Delarue et a souhaitĂ© intervenir dans lâĂ©mission diffusĂ©e ce mercredi 24 aoĂ»t. "Jâaurais Ă©tĂ© content quâil ait 60 balais comme moi et quâon puisse discuter. On sâentendrait encore mieux quâon ne sâentendait, câest sĂ»r", confiait-il dans un premier temps trĂšs la suite de son discours, Christophe Dechavanne nâa pas pu retenir son Ă©motion. "Sâil y avait aujourdâhui quelquâun dont je voudrais profondĂ©ment ĂȘtre lâami, et chez moi, câest une valeur Ă©norme, ce serait lui", ajoute-t-il la gorge nouĂ©e avant de fondre en larmes et poursuivre "Je suis dĂ©solĂ©. Je ne pensais pas en arriver lĂ . Ăa me fait ch*er [âŠ] Si aujourdâhui je pouvais partager avec lui tout ce que jâai dans la tĂȘte, de ce monde de merde dans lequel on vit, câest un type avec qui je serais profondĂ©ment ami, et ça, ça ne va pas ĂȘtre possible ». Une tendre dĂ©claration qui a suscitĂ© Ă©normĂ©ment dâ voir Ă©galement Jean, le fils de Jean-Luc Delarue est devenu millionnaire lâĂ©norme chĂšque qui lui a Ă©tĂ© fait aprĂšs la terrible disparition de son papa⊠lire aussi Christophe Dechavanne dĂ©vastĂ©, il perd Ă nouveau son fidĂšle compagnon Anne-Elisabeth Lemoine les esprits s'Ă©chauffent sur le plateau de "C Ă Vous" entre Christophe Dechavanne et JosĂ©e Dayan, la rĂ©alisatrice de "Capitaine Marleau"
. 169 223 104 235 603 574 185 404
je suis le capitaine de mon ame