Iln’est pas interdit de rêver,car,c’est gratuit avec des gens sans scrupules surtout en Guinée sous Alpha Condé.Et,il veut péter plus haut que ses fesses.Mais,de régler d’abord son problème de leadership (Présidence) au sein de votre parti politique PGSD) avec la fondatrice. Passer au contenu Rêver de parler Rêver de parlerAttrape rêves2021-06-05T120924+0300 Rêver de parler signifie Le rêve de parler et son explication en détailsRêver de parler – Sens et interprétations Parler ou demander quoi que ce soit, dans un rêve, prédit que vous obtiendrez bientôt une réponse à la question qui vous préoccupe depuis longtemps. Rêver de parler à des parents décédés a une signification différente selon le membre de la famille vu dans un rêve. En tout état de cause, ce rêve est défavorable lorsque l’apparence des morts est déformée par les émotions, la maladie et même la décomposition. Rêver de parler à un mort est favorable, si l’apparence du défunt est agréable. Parler à une femme, en rêve, indique que vous devez vous préparer à affronter des problèmes de santé. Ce rêve vous avertit que la maladie essaiera de pénétrer par la bouche, les yeux, les hanches et le ventre. Rêver de parler à un homme dit qu’il faut se méfier des maladies de l’esprit ego, égoïsme, etc.. La maladie peut pénétrer dans la tête, les pieds, les oreilles et les mains. Significations détaillées du rêve de parler Rêver de ne pas pouvoir parler représente une personne qui brime votre liberté. Vous ne pourrez pas exprimer vos idées librement dans les jours à venir. En revanche, parler et ne pas se faire comprendre symbolise l’incompréhension qui règne autour de vous. Vous n’arrivez pas à exprimer vos idées et vos projets à votre entourage. Tandis que, parler clairement, dans un rêve, promet des profits ou une aisance matérielle. Par contre, rêver de parler difficilement, baragouiner, bégayer vous invite à trouver les raisons pour lesquelles vous avez peur d’exprimer vos idées. Le rêve d’apprendre à parler une autre langue annonce un changement majeur dans votre façon de penser et d’agir face à une situation précise. Les rêves de parler les plus courants Rêver de parler à un ami au téléphone symbolise des souffrances que vous souhaitez partager avec quelqu’un. Si dans votre rêve vous parlez d’argent à quelqu’un, c’est un signe de réussite dans vos affaires. Le fait de parler à un avocat symbolise une personne qui vous fera manquer des occasions, car, elle occupe votre temps en vain. Rêver de parler à des animaux, est un présage de chagrins et d’ennuis ou même de deuil. Enfin, parler à un ennemi est annonciateur de querelles avec votre partenaire. Autres interprétations du rêve de parler Rêver de parler et faire des commérages représente des discussions sans importances pour votre avancement personnel. Entendre parler de ragots, en rêve, est une invitation à ne pas réagir aux paroles mesquines d’autrui. Votre indifférence désarmera vos adversaires. Rêver de parler et entendre une conversation bruyante laisse présager un rendez-vous secret. Parler en public, dans un rêve, signifie prospérité et richesse. Si vous rêvez de parler avec un visage invisible, vous apprendrez le décès de quelqu’un ou perdrez un ami. Rêver de parler avec un imbécile prédit que vous deviendrez la victime d’un canular. Pour finir, parler avec Dieu ou Allah vous promet d’être protégé des personnes influentes. Trouvez tous vos rêves Vos rêves par catégories Amour Animaux Rêves d'animaux sauvages Rêves de chats Rêves de chien Rêves de serpent Dents Feu Les cauchemars Les études sur les rêves Rêves de maison Sang Transports Rêves de camion Rêves de voiture Tuer Voyage Vacances Pays error Contenus et images protégés!! Rêverun président mort Recevoir de l,argent de la par du président Parler avec un président mort et chasser Rêvé de serrer la main du président de la république Rêves à un enceinte président mort dans une voiture Rêvé à un président Rêve voir et parler avec un président mort Que signifie voir la recevoir, argent part président de la république
Médiathèque Fiche média Entretien avec le président de la République
SearchResults for: President de la republique président. 2010/09/17 SignificationInterprétation reves. Rêver que vous voyez le président d’un organisme public , prédit vous chercherez élévation et d’être récompensé en recevant une position de confiance élevé . Pour voir une recherche de mauvaise humeur vous êtes menacé d’ états insatisfaisants. Si vous êtes un président
A la veille du début de l'Euro 11 juin-11 juillet, Emmanuel Macron se rend ce jeudi à Clairefontaine pour apporter son soutien aux champions du monde, poursuivant ainsi une tradition lancée par Jacques Chirac en 1998. L'occasion de revenir sur les moments les plus marquants entre les présidents de la République et les une tradition depuis 1998. A la veille d’une grande compétition internationale, les joueurs de l’équipe de France ont pris l’habitude de recevoir la visite du président de la République. Moins de 24h avant le début de l’Euro 11 juin-11 juillet, Emmanuel Macron se rend donc ce jeudi à Clairefontaine pour apporter son soutien aux Bleus de Didier Deschamps. Il en profitera pour accorder un entretien exclusif à Mohamed Bouhafsi et Jean-Louis Tourre en direct sur BFMTV à 14h30 et dans "Top of the foot" sur RMC à 18h. Féru de football, supporter assumé de l’OM, Macron est un connaisseur, capable de parler mercato avec Kylian Mbappé, futsal avec Wissam Ben Yedder, ou de donner son avis sur le retour en sélection de Karim Benzema. En 2018, Paul Pogba et sa bande l’avaient même vu assurer l’ambiance après leur victoire en finale du Mondial russe, avec un "dab" lâché dans le vestiaire tricolore devant des joueurs bières et cigarettesEntre les Bleus et les présidents français, les relations n’ont pas toujours été aussi fusionnelles. Davantage fasciné par les combats de sumos, au point d'appeler un de ses chiens "Sumo"... Jacques Chirac n’était par exemple pas à son aise sur les terrains ou dans les enceintes sportives. Mais au-delà de sa carrière politique, sa vie a été liée par des moments particuliers avec l’équipe de France. Parfois sincères, parfois teintés d'opportunisme. Comment ne pas se souvenir de son play-back lorsqu’il avait feint de scander les noms des Bleus avant la finale face au Brésil en 1998 ? Ce jour-là, Jacques Chirac avait visiblement oublié de réviser sa compo. Deux jours plus tard, c’est avec un lapsus qu’il avait accueilli les nouveaux champions du monde à la garden-party de l'Elysée. Micro en main, il avait pris la parole pour lancer un "L'équipe de France et la Coupe de France", avant de se rattraper "Euh, la Coupe du monde, pardon !" Pas de quoi crisper les joueurs d’Aimé Chirac avait même fait marrer certains d’entre eux. "Il m’a dit qu’il ne m’aimait pas, s’était souvenu il y a quatre ans Emmanuel Petit dans l’émission "Le Vestiaire" sur RMC Sport. Ensuite il m’avait encore lancé avec le sourire que c’était parce que sa femme m’adorait." Il s’était en fait attiré la sympathie des Bleus avant même la compétition en partageant un repas avec eux à Clairefontaine durant lequel il avait sifflé une ou deux Corona, sa bière favorite, et en se lançant dans des blagues salaces avec Roger Lemerre, alors adjoint de Jacquet. "Ce soir-là, il est devenu l’un des nôtres", avait affirmé Didier Deschamps. Son passage en Allemagne à l’occasion de la Coupe du monde 2006 reste tout autant légendaire. "J’ai un souvenir extraordinaire de la visite de Jacques Chirac après le match contre le Brésil en quarts de finale où il voulait absolument voir Zizou Zidane, Willy Sagnol, Makelele... Je lui avais dit attendez un peu’ parce que je savais ce qu’ils étaient en train de faire ces couillons !, avait raconté le docteur Jean-Pierre Paclet, ancien médecin des Bleus, sur RMC Sport."Quand Sarkozy parlait des femmes avec Henry"Ils étaient en train de se taper une petite cigarette après le match. C’était merveilleux de voir le président de la République face à un joueur qui était assis sur le siège des toilettes et un autre dans le lavabo. Ça, c’est une scène qui m’a marqué." Des anecdotes plus ou moins gênantes entre Nicolas Sarkozy et les Bleus, il y en a aussi. Avec notamment une visite à Clairefontaine, avant l’Euro 2008, jugée un peu trop longue à l’époque par Raymond Domenech. "C’était très sympa. Il était arrivé à midi et il devait partir à 13h15, voire 13h20. Et il était parti à 14h30. Il avait fallu qu’on le foute dehors parce qu’il y’avait entraînement !", avait confié l’ancien sélectionneur des Bleus en 2016 sur C8. En 2012, le Nouvel Observateur avait dévoilé des détails sur une autre rencontre, qui s’était déroulée dans un contexte bien différent entre Sarkozy et Thierry Henry, dans la foulée du fiasco français au Mondial sud-africain en 2010. Avec des discussions étonnantes entre les deux hommes, notamment sur... les femmes."Changer de femme, c'est comme changer de club, on le fait pour se relancer", aurait par exemple lancé le meilleur buteur de l’équipe de France. Ce à quoi Sarkozy aurait répondu "Quand on change de club, on gagne de l'argent, alors que quand on change de femme, on en perd." Entre la sélection et les présidents, les relations ont également été marquée par certains malentendus. Comme en 2016 lorsque François Hollande avait souhaité s'entretenir avec le patron de la Fédération française de football, Noël Le Graët. Dans des confidences faites aux journalistes Fabrice Lhomme et Gérard Davet, auteurs du livre "Un président ne devrait pas dire ça…", le chef de l’Etat avait conseillé à certains footballeurs une "musculation du cerveau", estimant qu’ils étaient "passés de gosses mal éduqués à vedettes richissimes, sans préparation".Hollande et la bousculade sur Le GraëtHollande avait affirmé à Le Graët que ses propos avaient été totalement exagérés, mal rapportés et qu’ils étaient hors contexte. Tout en assurant qu’il était le premier supporter des Bleus et qu’il avait vibré comme rarement devant l’Euro 2016, où il avait assisté à des rencontres avec le boss de la FFF, comme la demi-finale entre la France et l’Allemagne au Vélodrome. "Je suis dans le stade. Noël Le Graët est à côté de moi. On ne domine pas vraiment le match mais on gagne 2 à 0. Il y a une scène où, je crois que c'est sur le deuxième but, je bouscule Noël Le Graët car il était un peu amorphe. Je ne sais pas pourquoi mais on venait d'être qualifié avec le deuxième but, on accédait à la finale. C'est un souvenir toujours agréable, que je rappelle à Noël Le Graët pour lui dire que je l'ai secoué ce jour-là", s’était-il souvenu en mars dernier sur le plateau de la chaîne L’Equipe. On espère la même bousculade avec Emmanuel Macron cet été lors de l’Euro. Ce serait bon signe pour les récemment, fin 2020, une polémique a éclaté au sujet des visites des présidents de la République à Clairefontaine. En réponse aux propos de Noël Le Graët, qui avait déclaré que "le phénomène raciste dans le sport, et dans le football en particulier, n'existe pas ou peu", Patrice Evra avait pris la parole, dénonçant des discriminations et portant de lourdes accusations. "On sait que l'équipe de France n'appartient à aucun joueur, mais au peuple français. Mais on a quand même des places attribuées, avait lâché l'ex-joueur de Manchester United. Quand on mange, on a l'habitude de se mettre à côté de ce gars, parce qu'on a de bonnes relations etc... Mais à chaque fois que le Président venait, ou des hommes politiques, tout changeait. J'étais assis là et, d'un seul coup, j'étais au bout de la table. Là où il y avait normalement Mamadou Sakho et Bacary Sagna, beaucoup de sombritude sic, il fallait changer. On mettait un Hugo Lloris et un Laurent Koscielny et le Président au milieu"."Mais on savait. C'était les règles du jeu. On est en France, pas chez nous. Quand il y avait une photo du Président, c'était mieux de voir un Hugo Lloris et un Laurent Koscielny à côté de lui, qu'un Mamadou Sakho ou un Bacary Sagna. C'est dommage", avait-il lancé, sans donner davantage de précisions sur la période concernée, mais en semblant faire référence à une visite de François Hollande en 2014.
Autitre de la présidence du Conseil de l'Union européenne et comme Président de la République française, je veillerai moi aussi à ce que cet exercice ne reste pas un exercice de style ou un exemple de méthode, simplement, mais qu'il débouche bel et bien sur des travaux pratiques, des évolutions fortes et concrètes et que les citoyens d'Europe puissent en cueillir Le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, a eu deux entretiens ce mardi 22 décembre 2015, au Palais de la Présidence de la République, successivement avec le Président du Groupe BNP Paribas, M. Jean LEMIERRE et le Président Directeur Général PDG du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc, M. Mohamed BENCHAABOUN. Au terme de de la première rencontre, le Président du Groupe BNP Paribas, M. Jean LEMIERRE a indiqué avoir eu une conversation en ’profondeur’’ avec le Chef de l’Etat sur plusieurs sujets, notamment sur la Côte d’Ivoire, les réformes qui y sont entreprises et la stabilité politique ; des points qui, selon lui, sont ’extrêmement importants pour l’activité économique’’ dans un pays. Il a ajouté que leurs échanges ont également porté sur les ’besoins’’ de la Côte d’Ivoire, en particulier dans les domaines des infrastructures, du financement du tissu économique des entreprises et des PME ainsi que de la bancarisation et de l’évolution en ’profondeur’’ du système bancaire. Tout ceci, a-t-il souligné, dans un contexte où la Côte d’Ivoire connaît une croissance importante qu’il faut ’soutenir financièrement et le Groupe BNP Paribas y est parfaitement engagé’’ et également une ’modernisation très importante’’ via la bancarisation et l’utilisation des NTIC. Il a précisé que le volume des prêts et donc de la constitution d’actifs pour le bilan du Groupe BNP Paribas, le volume de prêts octroyés par la BICICI en Côte d’Ivoire, ’ croît plus rapidement que le PNB ivoirien’’. Ce qui, à son avis, montre le ’soutien’’ que cette Banque apporte à la croissance économique ivoirienne. Par ailleurs, le Patron du Groupe BNP Paribas a révélé qu’au cours de l’entretien, le Président de la République a abordé la situation dans la sous- région ouest- africaine, notamment la croissance économique et la stabilité politique. Pour Jean LEMIERRE, en effet, ce sont également des ’éléments d’analyse importants’’ pour son Groupe, qui a aussi une activité en croissance et des engagements en Afrique de l’Ouest. Quant au PDG du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc, M. Mohamed BENCHAABOUN, il a dit avoir profité de sa rencontre avec le Président Alassane OUATTARA pour lui faire part du travail qui est fait par son Groupe ici en Côte d’Ivoire, en ce qui concerne, entre autres, l’accompagnement de la Banque Atlantique, mais aussi de grands projets de développement économique et social du pays. Il a ajouté avoir saisi cette occasion pour informer le Chef de l’Etat de l’ouverture, cet aprèsmidi, de la première Agence de Microfinance du Groupe, dans la Commune de Yopougon, à Abidjan. Ce qui, selon lui, est la ’concrétisation’’ d’un engagement que le Groupe Banque Centrale Populaire, a pris vis-à-vis de sa Majesté le Roi MOHAMED VI du Maroc et du Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, pour le lancement de cette activité de Microfinance dans ce pays, en s’appuyant sur ’l’expérience accumulée’’ par le Maroc dans ce domaine ces vingt dernières années. M. Mohamed BENCHAABOUN a ajouté que l’entretien avec le Chef de l’Etat a été également l’occasion pour eux de parler des activités ’annexes’’ qui sont développées par son Groupe dans le cadre de sa présence en Côte d’Ivoire et dans la région de l’UEMOA en général, aussi bien dans les domaines de la Banque que de l’Assurance. Tout en envisageant la possibilité d’ouvrir d’autres activités financières en Côte d’Ivoire et qui portent notamment sur des ’sociétés de financement’’, en particulier les crédits- bail activités de leasing au d’autres types d’activités qui sont gérées dans des sociétés de financement comme les crédits à la consommation. Pour terminer, le premier Responsable du Groupe Banque Centrale Populaire du Maroc a précisé avoir surtout ’insisté’’ sur la volonté de son Groupe ’d’accompagner’’ le Plan National de Développement de la Côte d’Ivoire sur la période 2016- 2020.

Autout début de son premier mandat, le président de la République Emmanuel Macron rompait avec la tradition de l’interview du 14 juillet.

Loi électorale partout, la fonction du Président de la république est protégée Joseph Mudimbi 2022-05-05 La loi électorale continue à alimenter les débats. Les propositions du Député N’singi Pululu révoltent certains. Pour être Président de la République , il faut être congolais d’origine. C’est-à-dire né de père et de mère congolais. » A-t-il proposé comme amendement à la loi électorale en discussion à l’Assemblée Nationale. Néanmoins , certains pensent qu’il faut mettre des gardes fous à la fonction Président de la République. C’est le cas de Joseph Mudimbi. Il est professeur à l’Université de Lubumbashi, à la faculté des sciences politiques . Je pense qu’un peu partout dans le monde, la fonction du Président de la République est protégée . Dit le professeur Joseph Mudimbi réagissant sur les propositions du député Nsingi Pululu . Pour lui , même les nations très avancées en démocratie fixent des limites. » À titre illustratif, les États-Unis d’Amérique présentés aujourd’hui comme le modèle de la démocratie. Il est admis que tout américain ne peut prétendre devenir Président de la République. Ne peut être Président de la République que le citoyen américain de naissance. Tout américain par naturalisation ne peut même pas rêver un seul instant le devenir. La loi lui en interdit ». Explique encore le professeur. Une loi sur mesure ? Si les autres nations protègent cette fonction , la RDC peut aussi le faire. Mais , la difficulté , ce que certains pensent que c’est une loi sur mesure . En les amendements introduits sur les critères d’éligibilité du candidat Président de la République paraissent liberticides, parce qu’on cherche à individualiser l’affaire . On pensent qu’ils sont envisagés dans le seul but de casser l’élan de certaines personnes qui veulent briguer ce mandat. » Explique Joseph Mudimbi, alors que la loi, elle, est impersonnelle. Depuis quelques temps, les partisans de Moïse Katumbi ,candidat potentiel à la présidentielle de 2023 , pensent que ces amendements visent leur leader. En même temps, quelques structures de la Société civile sont vent debout contre ces propositions. Elles promettent de mener des actions pour stopper l,insertion de ces amendements dans la version définitive de la loi. / MCP, via 1838 suivent la conversation 6 commentaires

Avanthier soir, le président de la République a adressé un message sur Facebook à Max et Cloé. « En reprenant la boulangerie de ce village, vous participez à

Un Castrais est le fils d'un candidat à l'élection présidentielle. Thibault Lassalle, 2e ligne du CO, se confie sur son père Jean Lassalle, qui brigue l'Elysée. À cause d'une saison pourrie» liée à une blessure, Thibault Lassalle, qui vient de se faire opérer et qui ne retrouvera pas les terrains avant cet été, n'a pas pu trop faire parler de lui sportivement depuis qu'il est arrivé au Castres olympique après avoir évolué à Agen, Oyonnax et Toulon. Mais le 2e ligne castrais de 29 ans, originaire d'Oloron-Sainte-Marie, porte un nom dont on parle beaucoup depuis quelques semaines. Il est le fils de Jean Lassalle, le député des Pyrénées-Atlantiques, qui fait partie des 11 candidats à l'élection présidentielle. Et même si Thibault cultive une certaine discrétion sur sa vie, il a accepté de nous recevoir chez lui à Castres pour évoquer le parcours de son père, personnage haut en couleur, dont il est très proche. Comment vivez-vous la campagne électorale de votre père ? Je suis très proche de mon père depuis toujours. Du coup, j'ai l'habitude de ses combats. Il en a eu d'autres par le passé plus difficiles pour nous ses proches. Je suis ça de manière très sereine. Ce n'est pas toujours facile. Il y a beaucoup d'affect. Il faut savoir faire la part des choses, prendre du recul. Quand on tient à quelqu'un, c'est parfois difficile ce qu'on peut lire et entendre et ce qui peut être dit sur lui. Cela fait partie du jeu politique. Il faut réussir à s'en détacher. Mais cela fait très longtemps que je suis habitué à ça, à être le fils de». Il y a des mots qui ne font pas plaisir. Mais dans l'autre sens, il y a beaucoup de chaleur et de sympathie. Je suis habitué, je vis avec sans trop de problèmes. Justement votre père à une vraie côte de sympathie, notamment sur les réseaux sociaux, cela doit vous faire plaisir ? Je suis très peu sur les réseaux sociaux. Je n'aime pas trop çà. J'ai bien vu l'ampleur que cela prenait. J'essaye de rester assez loin de tout ça. Mais il est dans la vie politique comme il est depuis toujours avec nous. Il est resté le même. C'est peut-être ça qui peut surprendre les gens. Mais chez nous, dans les Pyrénées, les gens le connaissent comme ça. Il est facilement abordable. Tout le monde veut lui parler. C'est même parfois un peu pénible quand tu es petit ou que tu veux passer un moment en famille c'est jamais trop possible. Il a toujours été comme ça, ouvert aux autres, même pour se faire engueuler il ne s'échappe pas. Vous avez toujours été baigné par la politique. Cela vous intéresse ? Mais il n'est pas que ça pour moi. Il a fait d'autres choses avant. Même s'il a été élu et réélu, dans sa tête ce n'est pas une profession, c'est un engagement énorme auprès des gens. Cela lui tient à cœur le suffrage universel. C'est une grande fierté pour lui d'être représentant des Basques et des Béarnais. Cela ne me donne pas envie à titre personnel mais cela m'a toujours plu de suivre ce qu'il faisait et la politique. Localement, chez nous, c'est très politisé. Il y a toujours eu de grands débats sur des sujets complexes, sur l'ours, sur le tunnel du Somport… Mon père était en plein dedans. On est obligé de s'y intéresser. Vous l'aidez dans ses campagnes ? Il ne nous a jamais rien demandé. Mais je l'ai fait lors de quelques campagnes. J'aime bien aller au contact des gens avec lui. Je le conduisais dans les mairies. J'aime discuter avec les gens. Chez nous, les gens adorent le rugby donc de me voir avec lui cela permettait aussi de discuter d'autres choses. Je suis très attaché aux problématiques de chez moi comme la ruralité. Cela m'intéresse beaucoup. Vous le suivez lors de ses passages télé et radio ? Oui. Je suis assez critique avec lui. J'ai du mal à le juger comme quelqu'un de lambda. Mais il aime bien m'appeler pour avoir mon avis et échanger. On s'appelle assez souvent. Mais je connais son discours et ses convictions, donc je n'ai pas besoin de tout regarder. Vous l'avez regardé lors du grand débat avec tous les candidats ? Oui et j'étais très stressé pour lui. Je savais qu'il resterait à sa place. Qu'il ne serait pas agressif vis-à-vis des autres candidats. Il parle quand il doit parler et laisse s'exprimer les autres idées. Cela reste mon jugement mais j'ai plutôt apprécié sa prestation par rapport à d'autres fois où j'ai pu moins apprécier. Avec vos coéquipiers au CO, vous discutez de la campagne de votre père ? Je n'en parle jamais si on ne m'en parle pas. J'ai toujours adopté cette ligne de conduite. Que cela soit avec mes amis à Oloron et tout au long de mon parcours jusqu'à Castres. Je n'ai pas besoin d'en parler. Je n'ai pas envie d'embêter les gens avec çà. Je suis assez discret sur ma vie de famille. J'aime garder cette part de discrétion même si ce n'est pas toujours facile rires. Mais c'est mon naturel. Après, j'en parle avec plaisir si on m'en parle. Et bien sûr qu'au club, tout le monde m'en parle. Forcément, certains s'y intéressent et regardent ce que fait mon père. On en parle mais cela reste toujours très chaleureux. Je sais que tous les gens que je côtoie ne votent pas pour lui. Vous n'êtes donc pas un porte-parole de votre père ? Je ne pourrais pas dire à quelqu'un de voter pour mon père. J'aurais trop peur de mettre les gens mal à l'aise. Il y a des gens dans ma famille qui y arrivent et essaye de convaincre. Moi, je ne veux pas donner le sentiment de forcer les gens. Vous êtes-vous déjà imaginé devenir le fils du Président de la République ? Cela ne fait pas du tout rêver franchement. Je serais fier de lui. Je connais sa détermination sur plein de sujets. Il pourrait amener quelque chose de différent. Mais je suis comme les montagnards, j'aime bien la discrétion, les paillettes ne me font pas rêver. Vous a-t-il demandé votre avis avant de se lancer dans cette campagne ? Quand il avait fait sa grève de la faim en 2006, le député protestait contre la délocalisation d'une entreprise de 140 salariés de sa circonscription et a fait une grève de la faim de 5 semaines, on était plus jeune, il y avait eu un échange entre nous avec ma mère et mes deux frères et ma sœur Thibault est l'aîné de la fratrie. Autant là, je m'étais préparé à ça. Je voyais bien les engagements qu'il prenait quand il est parti à la rencontre des Français en 2013, Jean Lassalle a fait huit mois de marche à travers la France. C'est venu assez vite à mon avis dans sa tête. Quand il nous parle de quelque chose c'est souvent qu'il a déjà pris la décision. On a plutôt parlé de comment il allait s'y prendre pour avoir les 500 signatures de parrainage. Car c'est compliqué quand tu n'as pas de parti. Vous pourriez vous lancer à votre tour en politique ? Je préfère faire les choses par les actes plutôt que par ce que je dis. Il ne faut jurer de rien, mais je ne pense pas m'engager politiquement. Pourtant je sais qu'en ce moment on dit que tous les politiques sont pourris. Ce n'est pas vrai. J'en côtoie. Ce sont des gens profondément engagés. On peut être contre ce qu'ils proposent ou fans de certains. Mais c'est un engagement permanent. En tout cas, pour mon père cela a été toujours le cas. J'ai du mal avec ceux qui ternissent l'image de tous les autres en ne montrant pas l'exemple. Mais la plupart des députés, des maires, surtout de petites communes, ils donnent le maximum pour leurs concitoyens avec peu de retours à part des ennuis. Je suis admiratif de çà. Vous suivez sa carrière mais à l'inverse il suit la vôtre ? On aime beaucoup le sport dans la famille. Et mon père est un amoureux inconditionnel du rugby. Il compare d'ailleurs toujours ses campagnes et ses engagements à un match. Il suit ma carrière bien sûr. Il est content je pense que je sois un joueur de rugby. Il aime bien venir voir quelques matchs. Quel est son club de cœur ? Quand il était jeune, Oloron était en première division. Alors il supportait ce club. Puis forcément la Section paloise. Il a aussi adoré quand j'étais à Oyonnax. Il ne voulait pas que j'en parte. J'imagine à cause de l'image du petit qui résiste au grand. Et maintenant forcément, il suit Castres.
. 413 678 181 143 475 35 482 739

rêver de parler avec le président de la république