PARIS(Reuters) - Les militaires français engagés au Sahel bénéficient depuis la mi-janvier d'un nouveau treillis appelé à équiper l'ensemble des personnels en

On est DES SOLDATS, SANS ARMES AU COMBAT, ce soir la mission, c'est de CHANTER DANS LES STADES, CHANTER DANS LES STADES, CHANTER DANS LES STADES, CHANTER DANS LES STADES, CHANTER DANS LES..., OOOOOOOOOOOOOOHOOOOOOOOOOOOOOOOOHOHOHOHOHOOOOOOOOO OOOOOOOOOOOOOOOOOHOOOOOOOOOOOOOOOOOOOWOOOOOOOOOOOO OOOOOHOOHOHOHOOOOOOOOOOOOOOOOOOWOWOWOWOOOOOOOOOOOH OHOOOOOOOOOOOOO Qui s'en souvient ?

Unsoldat français : « Imagine ce que peut ĂȘtre un assaut Ă  l’arme blanche, ces aciers fins et blancs au bout des fusils tenus par nos mains crispĂ©es. Ce combat est ce que l’on peut demander de pire Ă  nos corps faibles, tremblants []. Nous arrivons tout prĂšs des Boches et un terrible corps Ă  corps s’engage. Les fusils ne peuvent plus nous servir et c’est Ă  l’aide de nos

Dans cette guerre de position violente, oĂč les combats d’artillerie font rage, il est trĂšs compliquĂ© de mener des opĂ©rations commando. C’est pourtant la mission des forces spĂ©ciales et des soldats comme Zolotiy, que nous avons rencontrĂ© quelque part en Ukraine. Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 17/08/2022 0731 Mis Ă  jour le 17/08/2022 0808 Temps de lecture 1 min. La devise des forces spĂ©ciales ukrainiennes est inscrite sur sa casquette "On ne meurt pas plus d’une fois". Depuis six mois, Zolotiy opĂšre sur le terrain de l’ennemi au pĂ©ril de sa vie. Son nom de guerre signifie "l’homme en or". Il a traversĂ© la ligne de front une trentaine de fois depuis le dĂ©but de la guerre. "On passe parfois par des champs de mines. Si vous pouviez voir comment on les traverse, ça vous ferait rire. On utilise une simple canne Ă  pĂȘche pour dĂ©busquer les explosifs. Rien de plus." "Quand on passe de l’autre cĂŽtĂ©, le principal objectif, c’est de ne pas se faire repĂ©rer. Soit on y arrive, soit il faut tuer des soldats ennemis." FiĂšrement, il montre sur son tĂ©lĂ©phone portable un char russe neutralisĂ© lors d’une rĂ©cente opĂ©ration, avec Ă  l’intĂ©rieur, trois jeunes soldats morts. "Nous avions planifiĂ© une embuscade sur le chemin que ce tank prenait d’habitude, relate le soldat. On a tirĂ© deux fois avec un lance-roquette de façon Ă  ne pas l’abĂźmer. Le commandant du char et l’artilleur se sont enfuis. On les a tuĂ©s puis on est montĂ©s dedans." "Nous avons plantĂ© le drapeau ukrainien et ramenĂ© le char, comme un trophĂ©e, de notre cĂŽtĂ© en traversant les positions ennemies." Une mission rĂ©ussie, menĂ©e sans Ă©tats d’ñme mĂȘme s'il y a des moments oĂč rien ne se passe comme prĂ©vu et oĂč la moindre approximation peut coĂ»ter cher. "On venait de prendre un village, nous Ă©tions en train de nettoyer les lieux mais nous n’avons pas vraiment respectĂ© les rĂšgles de sĂ©curitĂ©, raconte Zolotiy. Les Russes nous attendaient. Ils tiraient avec un lance-roquette. Un de mes amis a Ă©tĂ© tuĂ© sur le coup, sous mes yeux. J’ai Ă©tĂ© pris de panique mais me suis repris." "Je n’ai plus peur maintenant. Je vais me battre jusqu’à la derniĂšre cartouche pour mes camarades tombĂ©s au combat." Au dĂ©but de la guerre, l’unitĂ© de Zolotiy comptait 23 hommes. De l’effectif de dĂ©part, ils ne sont aujourd’hui plus que cinq. Mais ce combattant revendique pour sa seule unitĂ© 120 ennemis tuĂ©s et une vingtaine d’engins dĂ©truits. Guerre en Ukraine Zolotiy, l’homme en or » des forces spĂ©ciales ukrainiennes - Un reportage de Thibault LefĂšvre et Eric Audra Ă©couter Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Guerre en Ukraine
Treizemilitaires français de la force « Barkhane » au Mali sont morts lundi dans la collision accidentelle de deux hĂ©licoptĂšres lors d’une opĂ©ration de combat contre des djihadistes.
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Floodland un city builder inspiré par la réalité du dérÚglement climatique Ce nouveau city-builder est directement ancré dans ce qui pourrait devenir la réalité. Cette premiÚre bande-annonce de Floodland nous montre un monde post-apocalyptique grandement submergé à cause du réchauffement climatique, mettant en péril la survie de l'espÚce humaine.
Lensemble brigade du crĂąne est disponible. Soldat au crĂąne, chasseuse au crĂąne, faucille Ă  os, cercueils volants et le sac Ă  dos portail fantĂŽme attendus pour la pĂ©riode d'Halloween sont TrĂšs exactement huit ans aprĂšs son inhumation au cimetiĂšre du mont Herzl, Ă  JĂ©rusalem, ce sont des dizaines d’amis et de proches qui l’aimaient qui se sont rassemblĂ©s, mercredi soir, pour rendre hommage Ă  Max Steinberg, un soldat seul amĂ©ricain qui Ă©tait tombĂ© lors de l’OpĂ©ration bordure protectrice en 2014. A proximitĂ© des noms familiers de soldats partis plus rĂ©cemment, une canopĂ©e a Ă©tĂ© dressĂ©e et des tabourets ont Ă©tĂ© installĂ©s – mais la majoritĂ© des plus de cent personnes qui ont fait le dĂ©placement se tiennent debout. AprĂšs les discours et la rĂ©citation des psaumes, les personnes prĂ©sentes placent des bonbons acidulĂ©s – ceux dont Max raffolait tout particuliĂšrement – sur les Ă©chinacĂ©es jaunes qui ont depuis poussĂ© sur sa tombe, et elles Ă©changent ensuite avec ses parents et avec son frĂšre. Comme cela avait Ă©tĂ© le cas lors des funĂ©railles de Steinberg, des dizaines d’anonymes qui n’avaient jamais rencontrĂ© Max ou sa famille sont venus, Ă©mus par son histoire. C’est rare que je vienne et qu’il n’y ait personne ici », dit un ami de longue date du dĂ©funt, Jason Rosen, en Ă©voquant sa derniĂšre demeure. Recevez gratuitement notre Ă©dition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l’info Inscription gratuite ! En 2014, la famille de Steinberg, arrivant pour les obsĂšques de Max au cimetiĂšre, avait eu la surprise de dĂ©couvrir une foule d’environ 30 000 personnes, rassemblĂ©e pour rendre un dernier hommage au soldat alors mĂȘme que le conflit Ă  Gaza faisait rage. Mais aujourd’hui, les choses sont diffĂ©rentes – et la famille de Steinberg explique considĂ©rer comme des amis un grand nombre de ces gens qui, en 2014, n’étaient que des Ă©trangers. Nous pleurons et pourtant nous sommes soutenus – littĂ©ralement portĂ©s dans notre souffrance – par la population israĂ©lienne », explique le pĂšre de Max, Stuart Steinberg, au Times of Israel. Un grand nombre de nos amis sont aujourd’hui IsraĂ©liens ». Le soldat Max Steinberg, 24 ans, originaire de la Fernando Valley dans le sud de la Californie, qui a Ă©tĂ© tuĂ© pendant l’OpĂ©ration bordure protectrice Ă  Gaza le 20 juillet 2014. CrĂ©dit AP Photo/Courtesy of Stuart Steinberg Et nous trouver ici huit ans plus tard
 Voir les mĂȘmes personnes en grande partie, ces mĂȘme visages qui Ă©taient lĂ  il y a huit ans et qui viennent ici chaque annĂ©e pour lui rendre hommage, c’est merveilleux », s’exclame Evie Steinberg, la mĂšre de Max. Cela me rĂ©chauffe le cƓur de savoir que tous, vous vous souvenez de mon Max. » Quand Max Steinberg avait quittĂ© le monde qui lui Ă©tait familier, celui d’une banlieue de Los Angeles, pour rejoindre l’armĂ©e israĂ©lienne, Evie et Stuart ne connaissaient IsraĂ«l qu’à travers ce qu’en disaient leurs enfants. Ils n’étaient jamais allĂ©s en IsraĂ«l et ils n’y connaissaient personne. Et ainsi, quand au mois de juin 2012, Max avait tĂ©lĂ©phonĂ© chez lui alors qu’il Ă©tait en train de faire un voyage au sein de l’État juif dans le cadre du programme Birthright pour leur annoncer qu’il avait l’intention de rejoindre l’armĂ©e israĂ©lienne, leur rĂ©action avait Ă©tĂ© teintĂ©e d’incrĂ©dulitĂ©. Il m’a appelĂ© et il m’a dit que le voyage Ă©tait formidable, qu’il allait s’installer lĂ -bas et qu’il allait faire l’armĂ©e », se souvient Evie. Et j’ai simplement pensĂ© OK, Max’. » TrĂšs honnĂȘtement, je ne l’ai pas pris au sĂ©rieux. Je me suis dit que c’était une dĂ©cision passagĂšre », ajoute-t-elle. La fascination exercĂ©e par le pays et par sa population sur Max Ă©tait Ă©vidente Ă  son retour en Californie. La vie en IsraĂ«l et l’enthousiasme des IsraĂ©liens captivaient Max, un amoureux de Bob Marley et de la nature, raconte Stuart. Il s’émerveillait vraiment, il disait que les IsraĂ©liens Ă©taient tellement passionnĂ©s, tellement heureux », ajoute Evie. Il Ă©tait rĂ©ellement impressionnĂ©. » ForcĂ©s de constater le dĂ©sir ardent de Max de rejoindre la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne, et mĂȘme son dĂ©sir de dĂ©fendre le pays, Stuart et Evie avaient fait le choix de l’encourager. Il voyait un sens Ă  sa vie », se souvient Stuart. Il avait trouvĂ© une cause qu’il voulait vraiment mettre au centre de sa vie – et c’était une bonne cause, une cause exceptionnelle. » Soldat seul, mais pas solitaire Max Ă©tait parti pour IsraĂ«l au mois de septembre 2012. Il n’y connaissait personne. Les cousins d’amis de la famille, la famille Pessen, Ă  Beer Sheva, l’avait accueilli alors qu’il tentait d’intĂ©grer la brigade Golani, bien dĂ©terminĂ© Ă  ne pas laisser son hĂ©breu approximatif, voire mĂ©diocre, entraver ses envies et ses ambitions. Les funĂ©railles de Max Steinberg Ă  JĂ©rusalem au Mont Herzl, le 23 juillet 2014. CrĂ©dit Jessica Steinberg/Times of Israel Max Ă©tait entrĂ© dans la brigade Golani au dĂ©but de l’annĂ©e 2013, n’ayant l’occasion de revenir qu’à deux reprises chez lui avant d’ĂȘtre envoyĂ© Ă  Gaza pendant l’étĂ© 2014. Pendant la bataille de Shejaiya, il a Ă©tĂ© tuĂ© en mĂȘme temps que six autres soldats quand le vĂ©hicule blindĂ© qui transportait son peloton avait Ă©tĂ© touchĂ© par un missile anti-char du Hamas. Ce n’est qu’aprĂšs la mort de leur fils que la famille Steinberg a dĂ©couvert ce pays et ce peuple pour lesquels Max avait fait le sacrifice de sa vie. C’était encore la guerre », se rappelle Evie, et nous avons pensĂ© D’accord, eh bien, l’armĂ©e nous enverra sĂ»rement des reprĂ©sentants et nous aurons probablement dix personnes » au cimetiĂšre, faisant rĂ©fĂ©rence au quorum nĂ©cessaire pour des funĂ©railles juives. Des Palestiniens grimpent sur un vĂ©hicule militaire israĂ©lien abandonnĂ© par les forces dans le quartier Shejaiya de Gaza City, le 26 juillet 2014. CrĂ©dit AP/Hatem Moussa La famille qui, jusqu’à prĂ©sent, ne connaissait personne en IsraĂ«l », avait Ă©tĂ© inondĂ©e de visites et de messages de condolĂ©ances des ministres, du prĂ©sident et de nombreux IsraĂ©liens d’horizons divers et variĂ©s. Et des milliers d’étrangers de plus avaient tenu Ă  venir faire part de leur soutien aux parents de Max lors des trois jours chaotiques » de la shiva – cette pĂ©riode de deuil respectĂ©e chez les Juifs – qui avait Ă©tĂ© organisĂ©e au Crown Plaza Hotel de JĂ©rusalem. C’était bouleversant », confie Jake Steinberg, le frĂšre de Max. Mais cela a Ă©tĂ© aussi quelque chose, entre autres, qui nous a amenĂ©s Ă  rĂ©aliser combien ce pays est particulier, spĂ©cial. Qui d’autre pourrait faire potentiellement la queue comme ça pendant deux heures ? », s’interroge-t-il. La famille s’est souvenue de cette immense dĂ©monstration de soutien en revenant au sein de l’État juif, au huitiĂšme anniversaire de la mort de Max. Ses membres disent dorĂ©navant ressentir un ancrage fort » au sein de la population. De par notre expĂ©rience d’IsraĂ«l, de par notre expĂ©rience de la population israĂ©lienne, en voyant la maniĂšre dont les IsraĂ©liens ont adoptĂ© notre famille – il serait impossible que nous ne nous sentions pas bien ici », explique Jake. RassemblĂ©s pour une bonne raison » C’est pendant cette pĂ©riode difficile que la famille Steinberg a rencontrĂ© Sam Grundwerg, qui Ă©tait alors officier et qui avait Ă©tĂ© chargĂ© par l’armĂ©e d’accompagner les proches du dĂ©funt dans l’épreuve du deuil. Grundwerg, qui est aujourd’hui prĂ©sident international de Keren Hayesod, s’est tenu aux cĂŽtĂ©s des familles de soldats tombĂ©s au combat dans les moments les plus douloureux, mais les circonstances inhabituelles dans lesquelles les parents de Max avaient perdu leur fils l’avaient placĂ© dans une position qui ne lui Ă©tait pas familiĂšre. La famille Steinberg accueillie par le ministre des Affaires de la Diaspora Nachman Shai Ă  son bureau de JĂ©rusalem, le 19 juillet 2022. Autorisation/Keren Hayesod La seule fois oĂč nous avions entendu parler de l’armĂ©e ou du consulat, Ă  ce moment-lĂ , c’était quand ils Ă©taient venus frapper Ă  notre porte », raconte Stuart. AprĂšs avoir localisĂ© la famille Ă  l’étranger grĂące Ă  la famille d’accueil de Max Ă  Beer Sheva, un responsable du consulat Ă©tait venu informer la famille de la douloureuse nouvelle du dĂ©cĂšs de leur fils. Cela n’avait Ă©tĂ© qu’à leur arrivĂ©e en IsraĂ«l que l’équipe habituelle de trois officiers chargĂ©s de la prise en charge des familles des victimes Ă©tait venue Ă  leur rencontre, avec Grundwerg Ă  leur tĂȘte. MĂȘme si, conformĂ©ment au protocole, ces officiers apportent aux familles un soutien, les milliers de personnes venues rĂ©conforter la famille endeuillĂ©e – et l’incapacitĂ© de cette derniĂšre Ă  parler et Ă  comprendre l’hĂ©breu – avaient nĂ©cessitĂ© un degrĂ© d’intimitĂ© plus profond, un appui bien plus fort. En raison de l’intensitĂ© particuliĂšre de la shiva, nous Ă©tions restĂ©s ensemble pratiquement 24 heures sur 24 Ă  ce moment-lĂ  », se souvient Grundwerg. Nous dormions Ă  l’hĂŽtel. » AprĂšs cette pĂ©riode de souffrances oĂč Grundwerg Ă©tait restĂ© fermement Ă  leurs cĂŽtĂ©s, manifestant une solidaritĂ© sans faille, la famille Steinberg dit dorĂ©navant considĂ©rer Sam comme l’un de ses membres. C’est mon frĂšre, mais d’une autre mĂšre », plaisante Evie. Cette expĂ©rience a assurĂ©ment eu un impact sur moi », commente Grundwerg qui a Ă©tĂ© lui-mĂȘme soldat seul aprĂšs ĂȘtre arrivĂ© au sein de l’État juif Ă  l’ñge de 17 ans. Il dit que cela n’a rendu que plus poignantes Ă  ses yeux l’idĂ©es de ce que signifie le sacrifice, de ce que signifie la responsabilitĂ© mutuelle, l’idĂ©e du peuple Juif, l’idĂ©e du rassemblement ». Sam Grundwerg, prĂ©sident mondial de Keren Hayesod et ami de la famille Steinberg, s’exprime lors d’une cĂ©rĂ©monie en hommage Ă  Max Steinberg au cimetiĂšre militaire du mont Herzl, le 20 juillet 2022. Autorisation/Keren Hayesod La relation professionnelle qu’entretient Grundwerg avec des organisations juives majeures signifie que la famille est restĂ©e proche de lui. Il a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  organiser des visites de commĂ©moration annuelles en IsraĂ«l pour le yahrzeit de Max, l’anniversaire de sa mort selon le calendrier hĂ©breu, avec notamment une visite, en 2015, oĂč la famille avait Ă©tĂ© personnellement conviĂ©e par le Premier ministre de l’époque, Benjamin Netanyahu. Deux ans seulement aprĂšs le dĂ©cĂšs de Max, Grundwerg avait Ă©tĂ© envoyĂ© Ă  Los Angeles pour y travailler au consulat gĂ©nĂ©ral israĂ©lien. Evie se souvient de sa surprise Ă  l’annonce de la nouvelle J’étais lĂ , en me disant Oh mon Dieu, mais je ne peux pas y croire !’ J’étais tellement contente. » Au fil des annĂ©es, les familles Steinberg et Grundwerg ont passĂ© des Shabbat ensemble, ils ont partagĂ© des repas de fĂȘte les uns avec les autres et ils se sont rendus cĂŽte Ă  cĂŽte aux Ă©vĂ©nements organisĂ©s par le consulat. C’était comme en famille », se souvient Grundwerg. En plus d’apporter un rĂ©confort prĂ©cieux aux parents de Max, la prĂ©sence d’un ami digne de confiance les a aidĂ©s Ă  naviguer Ă  travers les commĂ©morations organisĂ©es par le gouvernement israĂ©lien et les prises de parole en souvenir de leur fils. Je crois vraiment que nous avons Ă©tĂ© amenĂ©s Ă  nous rencontrer tous pour une raison », dit Grundwerg. EngagĂ©s Ă  faire vivre la mĂ©moire de Max » Stuart et Evie racontent qu’en rĂ©sultat de leur expĂ©rience, leur lien avec leur identitĂ© juive et avec les Juifs du monde entier s’est beaucoup approfondi. Ils soulignent que les dĂ©monstrations de soutien qui ont Ă©tĂ© tĂ©moignĂ©es lors des funĂ©railles de leur fils leur ont fait comprendre la force et l’ampleur des idĂ©es de ce que sont le peuple Juif et la responsabilitĂ© mutuelle C’est rĂ©el », insiste Evie. Depuis la mort de Max, tous les membres de la famille se sont engagĂ©s dans des initiatives juives ou israĂ©liennes, d’une maniĂšre qu’ils n’auraient jamais pu imaginer auparavant. Evie et Stuart consacrent beaucoup de temps, depuis chez eux, Ă  soutenir et Ă  dĂ©fendre les soldats seuls et leurs familles. Nous sommes tous devenus des soldats », dit frĂ©quemment Evie Ă  son entourage, avant d’ajouter que tous les soldats n’ont pas une arme sur eux ». Elle intervient souvent pour sensibiliser les publics de groupes dont les activitĂ©s sont consacrĂ©es Ă  IsraĂ«l, comme Birthright et l’AIPAC, et elle s’efforce de soutenir les parents des soldats seuls en tant que membre du groupe FLS Familles de soldats seuls. De gauche Ă  droite, Paige Steinberg, Evie Steinberg, l’ex-Premier ministre Benjamin Netanyahu, Stuart Steinberg et Jake Steinberg lors d’un voyage en IsraĂ«l pour commĂ©morer le premier anniversaire de la mort du sergent Max Steinberg, au mois de juillet 2015. Autorisation/Keren Hayesod En 2018, Stuart est devenu prĂ©sident du FLS qui soutient les soldats seuls et qui aide Ă  intĂ©grer les parents dans l’expĂ©rience de l’armĂ©e. Il Ă©voque avec fiertĂ© son initiative visant Ă  renforcer la coordination entre l’armĂ©e israĂ©lienne et les missions consulaires Ă  l’étranger en ce qui concerne les soldats seuls et leur suivi, de maniĂšre Ă  ce que plus jamais la premiĂšre interaction entre une famille et l’armĂ©e ne doive se rĂ©sumer Ă  un coup rĂ©sonnant sur une porte dans des circonstances terribles, dit-il. Quand la mesure a Ă©tĂ© approuvĂ©e, au dĂ©but de l’annĂ©e, la famille en a Ă©tĂ© informĂ©e personnellement au tĂ©lĂ©phone par Yair Lapid, qui Ă©tait ministre des Affaires Ă©trangĂšres Ă  ce moment-lĂ . Le frĂšre de Max, Jake, est directeur de l’AIPAC pour la rĂ©gion de Los Angeles tandis que sa sƓur, Paige, est partie vivre en IsraĂ«l oĂč elle s’est inscrite Ă  l’universitĂ© Reichman, Ă  Herzliya. Ce Ă  quoi Max croyait et ce en quoi nous croyons », explique Jake, c’est aux Juifs et c’est au peuple juif, et Ă  la crĂ©ation d’un meilleur avenir pour eux ». Nous avons la conviction de faire revivre sa mĂ©moire Ă  travers nos actions », ajoute-t-il.

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De Recherche et dĂ©veloppement pour la dĂ©fense Canada Le 30 septembre 2014 Les menaces ennemies et les opĂ©rations de contre-ingĂ©rence ont considĂ©rablement accru l’importance de l’équipement de protection individuelle EPI des soldats et de son rĂŽle essentiel en vue d’accroĂźtre la capacitĂ© de survie et de mener Ă  bien les missions. L’équipement des soldats appelĂ© ensemble offre une protection essentielle. Il contribue toutefois Ă  accroĂźtre le fardeau des soldats, car il s’ajoute aux lourdes charges qu’ils doivent transporter, et peut nuire Ă  leur aptitude Ă  exĂ©cuter des manƓuvres tactiques et Ă  accomplir des tĂąches essentielles Ă  la mission. Des chercheurs de Recherche et dĂ©veloppement pour la dĂ©fense Canada RDDC veulent comprendre comment le poids, le volume, la surface couverte et la rigiditĂ© associĂ©s aux ensembles affectent l’exĂ©cution de tĂąches opĂ©rationnelles et ultimement la capacitĂ© de survie. Pour rĂ©pondre Ă  cette question, RDDC utilise le parcours d’évaluation de la mobilitĂ© du Programme canadien d’évaluation des effets des charges PCEEC situĂ© au Centre de recherches de Toronto pour Ă©tudier les mouvements de combat avec diffĂ©rentes charges. Les chercheurs observent et mesurent les mouvements des sujets se dĂ©plaçant sur le parcours sans Ă©quipement ou avec un Ă©quipement dont les niveaux de charge critique comme le poids, le volume, la surface couverte et la rigiditĂ© varient. Le parcours comporte une sĂ©rie de 10 obstacles physiques minutĂ©s, comme des poutres d’équilibre, des escaliers, des Ă©chelles et des tunnels, puis trois stations distinctes oĂč des tĂąches, notamment l’adresse au tir et le transfert de poids, doivent ĂȘtre exĂ©cutĂ©es. Ces stations et ces obstacles sont reprĂ©sentatifs des tĂąches de combat rĂ©elles. De plus, diffĂ©rents essais liĂ©s aux caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©rales des ensembles et des participants sont effectuĂ©s pour quantifier de nombreux facteurs qui contribuent au rendement [scanneurs corporels tridimensionnels 3-D pour ce qui est du volume, amplitude des mouvements en ce qui a trait Ă  la rigiditĂ©, niveau de condition physique des participants, etc.]. Les rĂ©sultats seront ajoutĂ©s aux outils de modĂ©lisation de combat pour aider Ă  dĂ©terminer l’incidence du rendement sur les rĂ©sultats des missions. Ce programme et ses rĂ©sultats aideront Ă  dĂ©finir les exigences relatives Ă  l’ensemble que portent les soldats ainsi qu’à mettre Ă  l’essai des mĂ©thodes que les Forces armĂ©es canadiennes pourraient employer pour acquĂ©rir des capacitĂ©s et de l’équipement Ă  l’avenir. De plus, ces expĂ©riences soutiennent l’industrie quant Ă  la conception des ensembles futurs. Les rĂ©sultats contribueront aussi au dĂ©veloppement d’outils aidant les commandants opĂ©rationnels Ă  prendre des dĂ©cisions sur l’utilisation optimale de la protection ou de la distribution des charges afin de maximiser le rendement des soldats et la capacitĂ© de survie dans le cadre de missions, de tĂąches et de conditions prĂ©cises. L’ArmĂ©e canadienne prend trĂšs au sĂ©rieux la protection de ses soldats », a indiquĂ© le lieutenant-gĂ©nĂ©ral Marquis Hainse, commandant de l’ArmĂ©e canadienne, lors de sa visite du parcours du PCEEC au dĂ©but de l’annĂ©e. Nous avons tout intĂ©rĂȘt Ă  nous assurer que la conception des vĂȘtements et de l’équipement des soldats soit validĂ©e par des recherches scientifiques et des essais rigoureux. La sĂ©curitĂ© de nos militaires est de la plus haute importance. » GrĂące Ă  cette recherche, le Canada contribue Ă  un effort multinational visant Ă  modĂ©liser l’efficacitĂ© au combat ainsi que les incidences de la charge des soldats sur la capacitĂ© de survie. Ainsi, les efforts d’évaluation de l’équipement du Canada cadreront avec ceux de nos alliĂ©s.
\n\n \n on est des soldats ensemble au combat
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