LĂ tu prends ta claque. On n'est pas des ploucs. Elle nous met tous dans son sac. Chauuuuuuuuuuaud devant. Y a son corps qui bouge et qui balance. Qui bouge et qui balance. Chauuuuuuuuuaud devant. Laisse pas passer ma chance. Quand je pense Ă  elle, la la la.
Par Qingping, Chine J’ai servi en tant que dirigeante dans une Église pendant un certain temps. SƓur Zhang, la diaconesse d’évangĂ©lisation, portait un fardeau dans son devoir et se montrait vraiment proactive. Mais elle Ă©tait assez directe, et avait tendance Ă  employer un ton sĂ©vĂšre. Parfois, elle soulignait les problĂšmes qu’elle remarquait en moi de façon trĂšs abrupte. Elle disait que je rĂ©primandais les gens avec autoritarisme, et qu’ils se sentaient contraints. Au dĂ©but, j’ai pris ça de façon positive. Je pensais qu’elle ne disait pas les choses gentiment, mais qu’elle avait raison, donc j’acceptais ses remarques et j’essayais de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais au bout d’un moment, Ă  force de la voir souligner les problĂšmes dans mon devoir devant tout le monde, sans aucune considĂ©ration pour mon image, j’ai fini par ne plus supporter la situation, et commencĂ© Ă  avoir des prĂ©jugĂ©s contre elle. Un jour, dans une rĂ©union avec des diacres, j’ai vu que personne ne parlait, donc je les ai invitĂ©s Ă  soulever n’importe quel problĂšme. Alors SƓur Zhang a dit sĂšchement Je me sens contrainte parce que ça te dĂ©plaĂźt quand j’échange longuement. » Et elle ajoutĂ© que d’autres frĂšres et sƓurs se sentaient entravĂ©s par moi, eux aussi. J’ai vu que quelques participants acquiesçaient, et j’ai commencĂ© Ă  rougir. Pour sauver la face, je me suis justifiĂ©e, en disant que c’était dans ma nature de parler durement. Elle a rĂ©pondu que le problĂšme ne venait pas de mon ton, mais de ma nature arrogante. SƓur Zhang ne tenait aucun compte de ma dignitĂ©, ce qui m’a bouleversĂ©e. Je me suis dit que c’était vrai qu’elle Ă©changeait interminablement, alors pourquoi ne rĂ©flĂ©chissait-elle pas sur elle-mĂȘme au lieu de me crĂ©er des problĂšmes ? Elle devait avoir une dent contre moi et voulait donner une mauvaise image de moi. Les autres allaient-ils m’en vouloir, et dire que je les rĂ©primandais et que j’étais arrogante ? Ces pensĂ©es ont vraiment renforcĂ© mes prĂ©jugĂ©s contre SƓur Zhang. Lors d’une autre rĂ©union avec des diacres, elle a dit devant tout le monde que je n’échangeais que sur des choses positives, et pas sur ma corruption, et que je n’avais guĂšre changĂ© mon arrogance et la façon dont je contraignais les gens. J’ai pensĂ© qu’elle n’avait pas Ă©voquĂ© mes qualitĂ©s, mais seulement mes dĂ©fauts. Étais-je vraiment aussi nuisible ? Les autres allaient forcĂ©ment avoir une mauvaise image de moi, et si la dirigeante s’en apercevait, elle allait peut-ĂȘtre dire que je n’avais pas changĂ© aprĂšs tout ce temps, et que je ne m’entendais pas avec les frĂšres et sƓurs. Je risquais donc d’ĂȘtre renvoyĂ©e. Plus j’y rĂ©flĂ©chissais et plus j’en voulais Ă  SƓur Zhang. Elle me critiquait sans cesse en public, et je lui cĂ©dais toujours sans me dĂ©fendre. Elle se montrait ingrate et allait trop loin. Elle Ă©voquait mes problĂšmes en nombre, sans tenir compte de l’image que cela donnait de moi. Je me suis dit qu’il fallait que je trouve l’occasion d’exposer ses problĂšmes, moi aussi, et de la mettre sur la sellette. J’ai donc tenu ma langue et je n’ai pas rĂ©pondu. Plus tard, lors d’une autre rĂ©union, j’ai appris que le travail d’évangĂ©lisation dont SƓur Zhang s’occupait ne donnait pas de bons rĂ©sultats, et qu’il y avait des problĂšmes dans son devoir. J’ai voulu le souligner publiquement, et la ridiculiser, mais avant que je puisse le faire, elle m’a posĂ© des questions sur mes rĂ©cents efforts concernant la propagation de l’Évangile. Je n’ai pas su quoi rĂ©pondre, c’était vraiment embarrassant. J’ai pensĂ© qu’elle aurait mieux fait de rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, si son travail d’évangĂ©lisation marchait mal, au lieu de me le reprocher. Elle savait que j’avais Ă©tĂ© accaparĂ©e par le travail de l’Église et que je n’avais pas pu prĂȘcher, donc, en me posant cette question, n’essayait-elle pas de me discrĂ©diter ? Elle essayait sans cesse de m’embarrasser, je ne pouvais pas accepter ça sans me battre. Je devais parler publiquement de ses problĂšmes, moi aussi, pour qu’elle ne puisse pas garder la tĂȘte haute. Plus tard, j’ai dit Ă  un diacre, avec une arriĂšre-pensĂ©e Le travail d’évangĂ©lisation de SƓur Zhang pose des problĂšmes, et elle n’écoute pas les critiques. Elle ne rĂ©flĂ©chit pas sur elle-mĂȘme et se jette sans cesse sur les problĂšmes des autres. » Je me suis sentie un peu coupable, mais ensuite, j’ai pensĂ© que c’était elle qui m’avait critiquĂ©e et embarrassĂ©e en premier, et qu’elle mĂ©ritait donc que je la traite ainsi. Ensuite, quand j’ai partagĂ© mon Ă©tat dans les rĂ©unions, j’en ai profitĂ© pour propager les prĂ©jugĂ©s que j’avais contre elle. Je disais Quand j’ai posĂ© des questions sur le travail d’évangĂ©lisation, lors de la derniĂšre rĂ©union, SƓur Zhang ne s’est pas demandĂ© pourquoi elle ne faisait pas de travail pratique, et elle m’a demandĂ© comment je partageais l’Évangile. J’ai eu des prĂ©jugĂ©s contre elle, parce qu’elle ne tirait pas de leçons des problĂšmes qu’elle rencontrait. » En entendant ça, certains des participants ont Ă©galement pensĂ© que SƓur Zhang manquait de conscience d’elle-mĂȘme. J’étais trĂšs contente, parce que je me suis dit que, dĂ©sormais, les frĂšres et sƓurs allaient savoir qu’elle n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, et qu’avec un peu de chance, ils allaient la prendre en grippe et l’ostraciser. Ils n’allaient donc plus se fier Ă  ce qu’elle disait, et allaient penser qu’elle n’était pas objective quand elle avait exposĂ© mes problĂšmes. Alors je pourrais conserver une bonne image aux yeux des frĂšres et sƓurs. Quand la dirigeante allait Ă©tudier la situation, les autres diraient que SƓur Zhang Ă©tait nuisible, et que le problĂšme ne venait pas de moi. Durant cette pĂ©riode, quand SƓur Zhang a eu des problĂšmes, je ne l’ai pas aidĂ©e comme avant, et je n’ai pas assurĂ© le suivi ou la supervision de son travail. Je me suis dit que, lorsque notre dirigeante viendrait voir comment les choses se passaient, et qu’elle verrait que SƓur Zhang ne faisait pas de vrai travail, elle la traiterait peut-ĂȘtre, ou mĂȘme, elle la renverrait. BientĂŽt, la dirigeante est venue voir pourquoi notre travail d’évangĂ©lisation ne se portait pas bien. J’ai voulu saisir cette occasion pour parler des problĂšmes de SƓur Zhang. Ainsi, la dirigeante allait voir que SƓur Zhang ne faisait pas de travail pratique et qu’elle refusait d’ĂȘtre supervisĂ©e, puis elle la renverrait. AprĂšs ça, je n’aurais plus Ă  me soucier d’elle. Donc, j’ai juste parlĂ© Ă  la dirigeante des problĂšmes que SƓur Zhang rencontrait dans son devoir, sans lui dire qu’elle avait appris, qu’elle s’était repentie et qu’elle avait changĂ©. La dirigeante m’a Ă©coutĂ©e et s’est dit que SƓur Zhang avait des problĂšmes graves, puis elle m’a demandĂ© de recueillir des Ă©valuations sur SƓur Zhang, et de gĂ©rer la situation aprĂšs les avoir Ă©tudiĂ©es. Ensuite, lors d’une rĂ©union, j’ai traitĂ© SƓur Zhang trĂšs durement. J’ai dit qu’elle n’obtenait aucun rĂ©sultat, qu’elle refusait qu’on pose des questions sur son travail, qu’elle refusait la supervision des dirigeants et qu’elle perturbait le travail de la maison de Dieu. J’ai dit aussi qu’elle ignorait les sentiments des autres et qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre. SƓur Zhang a Ă©tĂ© vraiment contrariĂ©e en m’entendant. Elle a pensĂ© que, puisqu’elle n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, qu’elle blessait les autres, qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre, et qu’elle ne faisait pas de travail pratique, elle devait ĂȘtre renvoyĂ©e. Ensuite, elle s’est enfermĂ©e dans un Ă©tat nĂ©gatif, dont elle n’est pas arrivĂ©e Ă  s’extraire, et notre travail d’évangĂ©lisation en a souffert. En fait, j’ai eu du mal Ă  la voir souffrir autant. Je me suis demandĂ© si j’avais dĂ©passĂ© les limites. Mais en repensant Ă  la façon dont elle m’avait embarrassĂ©e, blessĂ©e et humiliĂ©e, j’ai voulu qu’elle ressente ce que cela faisait de perdre la face. Et si elle Ă©tait renvoyĂ©e, les autres sauraient qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre, ce n’était donc pas mon problĂšme. Ensuite, j’ai demandĂ© aux autres de rĂ©diger des Ă©valuations sur elle. Redoutant qu’ils n’en disent pas suffisamment sur ses problĂšmes pour qu’elle soit renvoyĂ©e, je n’ai cessĂ© d’évoquer ses dĂ©fauts devant eux. J’ai aussi demandĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment si elle rĂ©solvait des vrais problĂšmes, dans le but de prouver qu’elle ne faisait pas de vrai travail. Quand SƓur Liu, la dirigeante supĂ©rieure, a compris la situation, elle m’a traitĂ©e sĂ©vĂšrement, en disant SƓur Zhang a soulignĂ© tes problĂšmes et tu as refusĂ© de l’accepter, tu l’as jugĂ©e devant une dirigeante, et tu as dramatisĂ© la situation. Tu l’accables et tu lui en fais baver. Tu veux qu’elle soit renvoyĂ©e, n’est-ce pas ? SƓur Zhang est directe, mais elle n’a pas de mauvaises intentions. Elle dit les choses clairement. Les autres disent que tu es arrogante et que tu aimes rĂ©primander les gens, les entraver. Pourquoi n’acceptes-tu pas les suggestions et l’aide, et pourquoi vas-tu jusqu’à oppresser les autres ? » J’ai manifestĂ© une certaine rĂ©sistance. Je me suis dit Ce ne peut ĂȘtre entiĂšrement ma faute, SƓur Zhang a forcĂ©ment des dĂ©fauts, elle aussi. Tu prends juste son parti, sans avoir examinĂ© la situation. » J’ai Ă©voquĂ© d’autres problĂšmes de SƓur Zhang, mais craignant que la dirigeante pense que je ne voyais pas mes propres problĂšmes, j’ai aussi briĂšvement parlĂ© de ma corruption. SƓur Liu a bien vu que je ne me comprenais pas du tout, alors elle m’a dit de lire les paroles de Dieu qui exposent la façon dont les antĂ©christs rejettent les critiques, excluent les contestataires et oppriment les autres. Elle a aussi dissĂ©quĂ© la façon dont je faisais tout ça pour protĂ©ger mon image et mon statut, et dit que je suivais le chemin d’un antĂ©christ, et que cela nuisait Ă  SƓur Zhang et au travail de la maison de Dieu. Elle a ajoutĂ© que je serais renvoyĂ©e si je ne changeais pas et si je ne me repentais pas. Ça m’a vraiment fait peur. J’ai eu l’impression d’ĂȘtre exposĂ©e et Ă©liminĂ©e, alors j’ai sombrĂ© dans un Ă©tat nĂ©gatif. Pendant un moment, je me suis contentĂ©e de faire mon devoir machinalement. Je refusais d’échanger et d’aider les frĂšres et sƓurs qui Ă©taient dans un mauvais Ă©tat, et les projets de notre Église ne donnaient aucun rĂ©sultat. Plus tard, je me suis retrouvĂ©e dans de nombreuses impasses, et j’ai enfin compris que j’avais eu tort de ne pas tirer de leçons des critiques, et de me montrer nĂ©gative et rĂ©sistante. J’ai enfin commencĂ© Ă  examiner la façon dont j’avais interagi avec SƓur Zhang, alors j’ai priĂ© et rĂ©flĂ©chi. Puis j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu Quand un antĂ©christ est Ă©mondĂ© et traitĂ©, peu importe qui le fait, Ă  quoi cela se rapporte, dans quelle mesure il est Ă  blĂąmer dans cette histoire, Ă  quel point l’erreur est flagrante, quelles iniquitĂ©s il commet et quelles consĂ©quences sa mĂ©chancetĂ© entraĂźne pour l’Église l’antĂ©christ ne considĂšre rien de tout cela. Il considĂšre que celui qui l’émonde et le traite le singularise ou lui trouve dĂ©libĂ©rĂ©ment des dĂ©fauts pour pouvoir le punir. L’antĂ©christ peut mĂȘme aller jusqu’à affirmer qu’on l’intimide, qu’on l’humilie, qu’on ne le traite pas avec humanitĂ©, qu’on le rabaisse et qu’on le mĂ©prise. Une fois qu’un antĂ©christ a Ă©tĂ© Ă©mondĂ© et traitĂ©, il ne se demande jamais ce qu’il a rĂ©ellement fait de mal, quel tempĂ©rament corrompu il a rĂ©vĂ©lĂ©, s’il a recherchĂ© les principes en la matiĂšre, ni s’il a agi conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ© et rempli ses responsabilitĂ©s. Il ne s’examine pas et ne rĂ©flĂ©chit Ă  rien de tout cela, et il ne mĂ©dite pas ces questions. Au lieu de cela, il aborde le traitement et l’émondage selon un point de vue humain et son approche est impĂ©tueuse. Chaque fois qu’un antĂ©christ est Ă©mondĂ© et traitĂ©, il est plein de colĂšre, de ressentiment et de mĂ©contentement et disposĂ© Ă  n’écouter les conseils de personne. Il refuse d’accepter d’ĂȘtre Ă©mondĂ© et traitĂ© et est incapable de revenir devant Dieu pour apprendre et rĂ©flĂ©chir sur lui-mĂȘme, pour corriger ses actions qui violent les principes, lorsqu’il est superficiel ou nĂ©gligent ou qu’il fait n’importe quoi dans son devoir, et il ne profite pas de cette chance pour rĂ©soudre son propre tempĂ©rament corrompu. Au lieu de cela, il trouve des excuses pour se dĂ©fendre, pour se justifier, et il dira mĂȘme des choses pour crĂ©er la discorde et provoquer les autres. [
] De façon gĂ©nĂ©rale, dans ce qu’ils disent comme dans ce qu’ils font, les antĂ©christs n’acceptent jamais la vĂ©ritĂ©. Qu’est-ce qu’un tempĂ©rament de refus de la vĂ©ritĂ© ? N’est-ce pas ĂȘtre Ă©cƓurĂ© de la vĂ©ritĂ© ? C’est prĂ©cisĂ©ment ce dont il s’agit » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antĂ©christs Ă©taient malade de la vĂ©ritĂ© et la dĂ©testaient. Quand ils sont traitĂ©s, ils ne l’acceptent pas de Dieu, et ils ne cherchent jamais la vĂ©ritĂ© et ne rĂ©flĂ©chissent pas Ă  leurs problĂšmes, mais ils sont pleins de griefs et d’insatisfactions, et font tout pour se justifier et se dĂ©fendre. Ils pensent que les autres leur rendent la vie difficile et ils se jettent sur leurs dĂ©fauts, ils les humilient et les regardent de haut, et ils refusent d’accepter la vĂ©ritĂ©. J’étais comme ça, moi aussi. Quand SƓur Zhang avait soulignĂ© mon arrogance et les problĂšmes que j’avais dans mon travail, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme. J’avais cru qu’elle me cherchait des dĂ©fauts, qu’elle essayait de me discrĂ©diter. Alors je lui avais rendu la monnaie de sa piĂšce, je l’avais punie par colĂšre. Quand la dirigeante supĂ©rieure m’avait exposĂ©e parce que j’oppressais SƓur Zhang et que j’avais une humanitĂ© mĂ©diocre, parce que je suivais le chemin d’un antĂ©christ, j’avais Ă©tĂ© encore plus mĂ©contente et j’avais continuĂ© Ă  me dĂ©fendre. J’avais pensĂ© qu’elle favorisait SƓur Zhang, alors j’étais devenu nĂ©gative et je m’étais opposĂ©e, tĂȘte baissĂ©e. J’ai compris que je voyais les critiques exactement comme un antĂ©christ, et que je rĂ©vĂ©lais un tempĂ©rament satanique qui consiste Ă  en avoir assez de la vĂ©ritĂ©. À ce stade, je me suis dit que j’étais dans un Ă©tat dangereux. J’ai voulu rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme et me repentir immĂ©diatement, me dĂ©tourner de ce mauvais chemin. Plus tard, au cours de mes dĂ©votions, j’ai lu ce passage. Êtes-vous capables de trouver plusieurs façons de punir les gens parce qu’ils ne sont pas Ă  votre goĂ»t ou parce qu’ils ne s’entendent pas avec vous ? Avez-vous dĂ©jĂ  fait ce genre de chose ? L’avez-vous beaucoup fait ? N’avez-vous pas rabaissĂ© des gens indirectement, fait des remarques dĂ©sobligeantes, Ă©tĂ© sarcastiques vis-Ă -vis d’eux ? Dans quels Ă©tats Ă©tiez-vous quand vous faisiez de telles choses ? À ce moment-lĂ , vous vous lĂąchiez et vous Ă©tiez contents vous aviez eu le dessus. Cependant, aprĂšs coup, vous vous ĂȘtes dit “J’ai fait quelque chose de vraiment ignoble. Je n’ai pas la crainte de Dieu et j’ai traitĂ© injustement cette personne.” Au fond de vous, vous ĂȘtes-vous sentis coupables ? Oui. Si vous n’avez pas la crainte de Dieu, au moins vous avez une certaine conscience. Alors, ĂȘtes-vous encore capables de faire ce genre de chose Ă  l’avenir ? Peux-tu envisager de t’attaquer Ă  des gens et de chercher Ă  te venger contre eux dĂšs l’instant oĂč tu les mĂ©prises et ne t’entends pas avec eux, ou dĂšs l’instant oĂč ils ne t’obĂ©issent pas ou ne t’écoutent pas ? Avez-vous dĂ©jĂ  fait une telle chose ? Quelle sorte d’humanitĂ© possĂšde une personne qui fait une chose pareille ? Concernant son humanitĂ©, elle est malveillante. À l’aune de la vĂ©ritĂ©, elle ne rĂ©vĂšre pas Dieu. Dans son discours et ses actions, cette personne n’a pas de principes ; elle agit sans raison et fait ce qui lui plaĂźt. Pour ce qui est de la crainte de Dieu, de telles personnes ont-elles rĂ©ussi une quelconque entrĂ©e ? Bien sĂ»r que non ; la rĂ©ponse est “non”, Ă  cent pour cent » Les cinq Ă©tats nĂ©cessaires pour ĂȘtre dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu ont rĂ©vĂ©lĂ© mon Ă©tat exact. Je manquais totalement de rĂ©vĂ©rence pour Dieu et j’avais une humanitĂ© malveillante. J’attaquais tous ceux qui m’offensaient et je me vengeais d’eux. Quand SƓur Zhang s’était montrĂ©e aussi directe au sujet de mes problĂšmes, j’avais eu l’impression qu’elle me faisait perdre la face devant les diacres. Au dĂ©but, j’avais pu me retenir et m’obliger Ă  accepter la situation, mais c’était arrivĂ© plusieurs fois, et j’avais alors eu de la rancƓur contre elle. J’avais cherchĂ© des failles chez elle et voulu me venger d’elle, lui donner un aperçu de ce que cela faisait de perdre la face. Quand j’avais dĂ©celĂ© des problĂšmes dans son travail, je ne l’avais pas aidĂ©e, et j’avais mĂȘme saisi cette occasion pour la rĂ©primander et la discrĂ©diter. Quand je n’étais pas parvenue Ă  mes fins, cela m’avait irritĂ©e encore plus, et je l’avais jugĂ©e dans son dos, pour que les frĂšres et sƓurs la prennent en grippe et l’excluent. J’avais dĂ©libĂ©rĂ©ment parlĂ© de ses problĂšmes Ă  la dirigeante, en espĂ©rant que celle-ci la critiquerait et la renverrait. Je m’étais dit qu’elle ne pourrait plus me faire d’ennuis, ensuite, et que je pourrais redorer ma rĂ©putation auprĂšs des frĂšres et sƓurs. Mes actes n’avaient pas seulement Ă©tĂ© extrĂȘmement douloureux et offensants pour SƓur Zhang, ils avaient aussi vraiment perturbĂ© le travail d’évangĂ©lisation. J’ai vu que j’avais une nature rĂ©ellement sinistre et malveillante. Je ne supportais pas la moindre offense, je manquais totalement d’humanitĂ©. J’ai songĂ© que Dieu m’avait Ă©levĂ©e pour que je serve en tant que dirigeante. Le but Ă©tait que je travaille bien avec les autres dans nos devoirs, pour que nous puissions nous aider les uns les autres et changer nos tempĂ©raments de vie. Mais j’avais attaquĂ© SƓur Zhang et je m’étais vengĂ©e d’elle pour prĂ©server mon image et mon statut, j’avais semĂ© la zizanie et j’avais excitĂ© les autres. J’avais nui aux frĂšres et sƓurs, et gravement entravĂ© le travail de la maison de Dieu. J’ai vu que j’avais vraiment fait le mal. Plus tard, en lisant les paroles de Dieu, j’ai gagnĂ© une certaine comprĂ©hension de ma nature malveillante. La parole de Dieu dit L’attaque et la vengeance sont un type d’action et de rĂ©vĂ©lation qui vient d’une nature satanique malveillante. C’est aussi une sorte de tempĂ©rament corrompu. Les hommes raisonnent ainsi “Si tu n’es pas gentil avec moi, alors je ne serai pas juste avec toi ! Si tu ne me traites pas avec dignitĂ©, pourquoi te traiterais-je avec dignitĂ© ?” Quel est ce genre de raisonnement ? N’est-ce pas une façon de penser vengeresse ? Dans l’opinion d’une personne ordinaire, ce type de perspective n’est-il pas viable ? Cela ne tient-il pas la route ? “Je n’attaquerai que si je suis attaquĂ© ; si je suis attaquĂ©, je contre-attaquerai certainement” et “Voici la monnaie de ta piĂšce” les incroyants disent souvent de telles choses. Chez eux, ce sont autant de raisonnements qui tiennent la route et sont totalement conformes aux notions humaines. Cependant, comment ceux qui croient en Dieu et recherchent la vĂ©ritĂ© doivent-ils considĂ©rer ces paroles ? Ces idĂ©es sont-elles correctes ? Non. Pourquoi ne sont-elles pas correctes ? Comment les caractĂ©riser ? D’oĂč viennent ces choses ? De Satan. Elles proviennent de Satan, cela ne fait aucun doute. De quel tempĂ©rament de Satan viennent-elles ? Elles viennent de la nature malicieuse de Satan ; elles contiennent du venin et elles contiennent le vrai visage de Satan dans toute sa malice et sa laideur. Elles contiennent l’essence mĂȘme de cette nature. Quelle est la nature des perspectives, des pensĂ©es, des expressions, du discours et mĂȘme des actions qui contiennent l’essence de cette nature ? Ces aspects n’appartiennent-ils pas Ă  Satan ? Ces aspects de Satan sont-ils conformes aux paroles de Dieu ? Sont-ils conformes Ă  la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils basĂ©s sur les paroles de Dieu ? Non. Est-ce que ce sont les actions que les croyants devraient faire et les pensĂ©es et les points de vue qu’ils devraient avoir ? Non » Seule la rĂ©solution de ton tempĂ©rament corrompu peut te libĂ©rer d’un Ă©tat nĂ©gatif », dans Sermons de Christ des derniers jours. Les antĂ©christs ont une nature fĂ©roce. Chez quel genre de personnes est-ce lĂ  le tempĂ©rament principal ? Chez les mĂ©chants. C’est exact. L’aspect principal du tempĂ©rament d’une personne perverse est la fĂ©rocitĂ©. Lorsqu’une personne fĂ©roce est confrontĂ©e Ă  une quelconque exhortation, accusation, instruction ou aide bien intentionnĂ©e, son attitude n’est pas de remercier ni d’accepter cela humblement, mais plutĂŽt de s’emporter et de ressentir une haine extrĂȘme, de l’inimitiĂ© et mĂȘme un dĂ©sir de vengeance. [
] Bien sĂ»r, quand elle exerce sa vengeance contre une personne pour cause de haine, ce n’est pas parce qu’elle garde une vieille rancune, mais parce que la personne en question a exposĂ© ses erreurs. Cela montre que quelle que soit la personne qui le fait et quelle que soit sa relation avec l’antĂ©christ, le simple fait de l’exposer peut provoquer sa haine et susciter sa vengeance. Peu importe de qui il s’agit, si la personne qui le fait comprend la vĂ©ritĂ©, peu importe qu’elle soit un dirigeant, un ouvrier ou un membre ordinaire des Ă©lus de Dieu. Si quelqu’un expose, Ă©monde et traite l’antĂ©christ, celui-ci le traitera comme un ennemi et dĂ©clarera mĂȘme ouvertement “Quiconque me traite, je serai dur avec lui. Quiconque me traite, m’émonde, me vole ma part de bĂ©nĂ©dictions et me fait renvoyer par la maison de Dieu, je ne le laisserai jamais s’en tirer comme ça. C’est comme ça que je suis dans le monde profane personne n’ose me causer des ennuis, celui qui ose m’importuner n’est pas encore nĂ© !” VoilĂ  le genre de propos insolents que tiennent les antĂ©christs lorsqu’ils sont susceptibles d’ĂȘtre Ă©mondĂ©s et traitĂ©s. Quand ils prononcent ces paroles de colĂšre, ce n’est pas pour intimider les autres ni pour se protĂ©ger. Ce sont de vĂ©ritables promesses de mĂ©chancetĂ©, et ils peuvent s’abaisser Ă  tous les moyens Ă  leur disposition. C’est lĂ  le tempĂ©rament fĂ©roce des antĂ©christs » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VIII », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antĂ©christs Ă©taient malveillants, et que si quelqu’un les provoquait ou compromettait leur image ou leur statut, ils considĂ©raient cette personne comme un ennemi et s’en vengeaient. Ce sont de vrais dĂ©mons. Si je me comparais aux antĂ©christs, du point de vue du tempĂ©rament et du comportement, n’étais-je pas comme eux ? Si on m’attaque, je riposterai certainement », ƒil pour Ɠil, dent pour dent » et Qui tend le dos, portera le fardeau » je prenais tous ces poisons sataniques pour de bonnes idĂ©es. SƓur Zhang avait soulignĂ© mes problĂšmes bien des fois, elle m’avait discrĂ©ditĂ©e, et j’avais trouvĂ© normal de me venger d’elle. Si je n’avais pas ripostĂ©, les gens auraient cru qu’ils pouvaient me tyranniser et m’exploiter. J’avais eu peur que, si elle m’exposait sans cesse devant tout le monde, la dirigeante pense que j’avais une humanitĂ© mĂ©diocre et qu’elle me renvoie, alors mon avenir et ma situation auraient Ă©tĂ© menacĂ©s. J’avais vu que SƓur Zhang avait rĂ©vĂ©lĂ© un problĂšme que j’avais effectivement, mais je n’avais pas du tout rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme. À la place, je l’avais attaquĂ©e, je l’avais traitĂ©e comme une ennemie, et j’avais voulu l’exclure. J’avais vu que SƓur Zhang souffrait de son Ă©tat nĂ©gatif, et que son devoir Ă©tait affectĂ©, mais mĂȘme ça m’avait laissĂ©e indiffĂ©rente. Je m’en Ă©tais pris Ă  elle pour protĂ©ger mes intĂ©rĂȘts personnels, sans tenir compte du travail de l’Église, ni me soucier des souffrances que je lui infligeais. J’avais vraiment Ă©tĂ© malveillante ! J’avais vĂ©cu selon ces poisons sataniques, j’avais manifestĂ© un tempĂ©rament satanique malfaisant et cruel, dĂ©pourvu de la moindre humanitĂ©. Je me suis souvenue d’un antĂ©christ que j’avais rencontrĂ©. Lui aussi aimait qu’on le porte aux nues et qu’on lui parle gentiment, mais quand les frĂšres et sƓurs l’exposaient, ce qui affectait son image et son statut, il les attaquait, se vengeait d’eux, leur en faisait baver, et il rendait les autres nĂ©gatifs et faibles. Il n’acceptait pas que les dirigeants l’exposent, trouvait des raisons de les critiquer, rĂ©pandait des notions et portait des jugements. Il se montrait si perturbateur que le travail de l’Église ne pouvait pas se poursuivre normalement. Les dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui, et l’avaient aidĂ© de nombreuses fois, mais il n’avait pas voulu se repentir. Il avait fini par ĂȘtre renvoyĂ© de l’Église pour tout le mal qu’il avait fait. N’avais-je pas Ă©tĂ© aussi malveillante que lui en me vengeant de SƓur Zhang ? J’ai ressenti du dĂ©goĂ»t et de la haine Ă  cause de mon propre comportement. J’ai dĂ©cidĂ© de me repentir et de changer vĂ©ritablement, de devenir un genre de personne diffĂ©rente. J’ai cherchĂ© les principes concernant la façon de traiter autrui, et de gĂ©rer les choses quand j’avais un parti pris contre un frĂšre ou une sƓur. J’ai trouvĂ© ces paroles de Dieu. Dans la maison de Dieu, quels sont les principes qui rĂ©gissent la façon dont les gens sont traitĂ©s ? Vous devez traiter tout le monde selon les principes de la vĂ©ritĂ©, et vous devez traiter chacun de vos frĂšres et sƓurs Ă©quitablement. Comment les traiter Ă©quitablement ? Cela doit ĂȘtre basĂ© sur les paroles de Dieu, sur qui Dieu sauve et qui Il rejette, sur qui Il aime et qui Il hait ce sont lĂ  les principes de la vĂ©ritĂ©. Les frĂšres et sƓurs doivent ĂȘtre traitĂ©s avec amour, acceptation mutuelle et patience. Les malfaiteurs et les non-croyants doivent ĂȘtre identifiĂ©s, sĂ©parĂ©s et tenus Ă  l’écart. Ce n’est qu’en faisant cela que vous traitez les gens avec des principes. Chaque frĂšre, chaque sƓur a des points forts et des points faibles et tous ont des tempĂ©raments corrompus, si bien que lorsque les gens sont ensemble, ils doivent s’entraider avec amour, ĂȘtre tolĂ©rants et patients et ne doivent pas pinailler ni ĂȘtre trop durs. [
] Tu dois regarder comment Dieu traite les ignorants et les imbĂ©ciles, comment Il traite ceux qui ont une stature immature, comment Il traite les manifestations normales du tempĂ©rament corrompu de l’humanitĂ© et comment Il traite les mĂ©chants. Dieu traite les diffĂ©rentes personnes de diffĂ©rentes maniĂšres et gĂšre la myriade de conditions de diffĂ©rentes personnes de façon variĂ©e. Tu dois comprendre la vĂ©ritĂ© en ces choses. Une fois que tu as compris ces vĂ©ritĂ©s, tu pourras alors savoir comment faire l’expĂ©rience des questions et traiter les gens selon des principes » Pour obtenir la vĂ©ritĂ©, tu dois apprendre des gens, des situations et des choses autour de toi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Apprenez Ă  travailler en harmonie avec tout le monde et Ă  interagir avec les autres par la vĂ©ritĂ©, la parole de Dieu et les principes, et non par Ă©motion ou impĂ©tuositĂ©. Ainsi, la vĂ©ritĂ© ne rĂ©gnera-t-elle pas dans l’Église ? Tant que la vĂ©ritĂ© rĂšgnera, les choses ne seront-elles pas justes et raisonnables ? Ne pensez-vous pas qu’une coordination harmonieuse est bĂ©nĂ©fique pour tout le monde ? Faire les choses de cette façon est trĂšs bĂ©nĂ©fique pour vous. Tout d’abord, c’est positivement Ă©difiant et chargĂ© de sens pour vous dans le cadre de l’accomplissement de vos devoirs. En outre, cela vous empĂȘche de faire des erreurs, de provoquer des perturbations et des dĂ©rangements et de prendre le chemin des antĂ©christs » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. GrĂące Ă  ces paroles, j’ai vu que Dieu nous disait de traiter tous les types de gens conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. Quand les vrais croyants, ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, rĂ©vĂšlent un peu de corruption seulement, en Ă©tant arrogants, trop directs, ou blessants, par exemple, nous devons nous montrer tolĂ©rants et patients, les aider et Ă©changer par amour, et non nous focaliser sur leurs dĂ©fauts. Mais quant aux scĂ©lĂ©rats ou aux antĂ©christs, qui portent des jugements et se dĂ©chaĂźnent, ou qui attaquent dirigeants et collaborateurs, en luttant pour leur statut, ils doivent ĂȘtre exposĂ©s, dissĂ©quĂ©s et renvoyĂ©s. Je savais que SƓur Zhang Ă©tait une croyante authentique, avec un sens de la justice, qu’elle dĂ©fendait le travail de l’Église. Elle Ă©tait juste directe et avait un ton sĂ©vĂšre, mais elle Ă©tait dĂ©pourvue d’intentions malfaisantes. Elle avait soulignĂ© mes problĂšmes pour m’aider Ă  comprendre mon tempĂ©rament corrompu, afin que je ne m’écarte pas du bon chemin et que je ne perturbe pas le travail de l’Église. Elle avait Ă©voquĂ© mes failles dans les rĂ©unions pour que je puisse voir les dĂ©fauts dans mon travail et suivre les principes de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir. Elle protĂ©geait les intĂ©rĂȘts de l’Église. Elle avait montrĂ© une certaine corruption en faisant tout ça, mais je devais me montrer comprĂ©hensive, tolĂ©rante et juste avec elle. En fait, accepter la supervision et les suggestions d’autrui me profite vraiment. J’ai une nature arrogante. J’ai toujours pris les autres de haut et utilisĂ© mon poste pour les rĂ©primander. C’était blessant et contraignant pour eux et je ne le voyais pas. SƓur Zhang m’avait exposĂ©e et elle avait soulignĂ© ces problĂšmes, ce qui m’avait aidĂ©e et avait profitĂ© au travail de la maison de Dieu. Mais je m’étais dĂ©chaĂźnĂ©e et vengĂ©e, j’avais voulu l’ostraciser. J’avais Ă©tĂ© si malveillantes, je n’avais pas eu la moindre humanitĂ©. Voir tout cela m’a contrariĂ©e, je me suis dit que j’étais vraiment redevable Ă  SƓur Zhang. Alors, je lui ai ouvert mon cƓur. Je lui ai dit que j’avais refusĂ© ses conseils et son aide, que je m’étais dĂ©chaĂźnĂ©e contre elle et que je m’étais vengĂ©e d’elle pour prĂ©server mon image et mon statut, en la blessant, et que j’étais arrogante et malveillante. SƓur Zhang ne m’en a pas voulu, mais elle a vu sa propre arrogance, et compris qu’elle parlait sans tenir compte des sentiments des autres, de sorte qu’elle ne les aidait et ne les Ă©difiait pas. Cet Ă©change ouvert a fait disparaĂźtre la barriĂšre qui nous sĂ©parait, et nous nous sommes rapprochĂ©es. J’ai vraiment pu goĂ»ter Ă  la paix que donne la pratique des paroles de Dieu, et su que c’était bien pour moi comme pour les autres. Plus tard, je me suis interrogĂ©e Ă  l’avenir, quand d’autres m’exposeraient et souligneraient mes problĂšmes, quand ma fiertĂ© serait froissĂ©e et que j’aurais des pensĂ©es malveillantes, qu’allais-je devoir faire ? Puis j’ai lu des paroles de Dieu. Lorsque la plupart des gens sont Ă©mondĂ©s et traitĂ©s, ce peut ĂȘtre parce qu’ils ont rĂ©vĂ©lĂ© des tempĂ©raments corrompus. Ce peut ĂȘtre aussi parce qu’ils ont fait quelque chose de mal par ignorance et ont trahi les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu. Ce peut ĂȘtre aussi parce que leurs tentatives de se dĂ©brouiller dans leur devoir en faisant de l’à-peu-prĂšs ont nui au travail de la maison de Dieu. La raison la plus flagrante, c’est lorsque les gens font ouvertement ce qu’ils veulent sans retenue, violent les principes et perturbent et dĂ©rangent le travail de la maison de Dieu. Ce sont les principales raisons pour lesquelles les gens sont Ă©mondĂ©s et traitĂ©s. IndĂ©pendamment des circonstances qui font qu’une personne est traitĂ©e ou Ă©mondĂ©e, quelle est l’attitude la plus cruciale Ă  avoir Ă  son Ă©gard ? Tout d’abord, il faut que vous l’acceptiez. Quelle que soit la personne Ă  qui vous avez affaire, quelle qu’en soit la raison, que cela paraisse dur ou non et quels que soient le ton et la formulation, vous devez l’accepter. Ensuite, vous devez reconnaĂźtre ce que vous avez fait de mal, quel tempĂ©rament corrompu vous avez exposĂ© et si vous avez agi conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. C’est d’abord et avant tout l’attitude que vous devez avoir lorsque vous ĂȘtes Ă©mondĂ©s et traitĂ©s » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VIII », dans Exposer les antĂ©christs. Si tu nourris de la haine envers tes frĂšres et sƓurs, alors tu seras enclin Ă  les rĂ©primer et Ă  te venger sur eux ce serait trĂšs effrayant, et c’est lĂ  le tempĂ©rament d’une personne mauvaise. Certains ont simplement des pensĂ©es et des idĂ©es haineuses des idĂ©es mauvaises, mais ils ne feraient jamais rien de mal. S’ils peuvent s’entendre avec quelqu’un, ils le feront, et sinon ils se distanceront de lui, et cela n’aura pas d’effet sur leur devoir et n’influencera pas leurs relations interpersonnelles normales, parce qu’elles ont Dieu dans leur cƓur et elles Le rĂ©vĂšrent. Elles ne veulent pas offenser Dieu et ont peur de le faire. Ces personnes peuvent avoir certaines pensĂ©es et idĂ©es incorrectes, mais elles sont capables de les rejeter et de les abandonner. Elles font preuve de retenue dans leurs actions, elles ne prononcent mĂȘme pas une seule parole dĂ©placĂ©e et elles ne veulent pas offenser Dieu Ă  ce sujet. Quelqu’un qui parle et agit de cette maniĂšre est quelqu’un qui a des principes et qui pratique la vĂ©ritĂ©. Tu es peut-ĂȘtre incompatible avec la personnalitĂ© de quelqu’un et tu peux ne pas l’aimer, mais quand tu travailles avec lui, tu restes impartial et tu ne vas pas faire Ă©tat de tes frustrations dans l’accomplissement de ton devoir, sacrifier ton devoir ni reporter tes frustrations sur les intĂ©rĂȘts de la famille de Dieu tu peux agir conformĂ©ment aux principes. De quoi est-ce la manifestation ? C’est la manifestation d’une rĂ©vĂ©rence Ă©lĂ©mentaire envers Dieu. Si tu as un peu plus que cela, alors, quand tu repĂšres chez quelqu’un des lacunes ou des faiblesses, mĂȘme s’il t’a offensĂ© ou s’il a un parti pris contre toi, tu es tout de mĂȘme en mesure de le traiter correctement et de l’aider affectueusement. Cela signifie qu’il y a de l’amour en toi, que tu es une personne qui possĂšde de l’humanitĂ©, que tu es quelqu’un qui est gentil et qui peut pratiquer la vĂ©ritĂ©, que tu es une personne honnĂȘte qui possĂšde les rĂ©alitĂ©s de la vĂ©ritĂ© et que tu es quelqu’un qui a de la rĂ©vĂ©rence pour Dieu. Si tu es encore de petite stature mais que tu as de la volontĂ©, que tu es disposĂ© Ă  lutter pour la vĂ©ritĂ© et pour faire des choses selon les principes, et que tu es capable de gĂ©rer les choses et d’agir vis-Ă -vis des autres selon des principes, alors tu peux ĂȘtre considĂ©rĂ© ayant un peu de rĂ©vĂ©rence pour Dieu c’est la chose la plus fondamentale. Si tu n’en es mĂȘme pas capable et que tu ne peux pas te retenir, alors tu es en grand danger et tu fais vraiment peur. Si on te donnait un poste hiĂ©rarchique, tu punirais les gens et tu leur mĂšnerais la vie dure tu serais alors susceptible de devenir un antĂ©christ Ă  tout moment » Les cinq Ă©tats nĂ©cessaires pour ĂȘtre dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont donnĂ© un chemin de pratique. Si j’étais Ă©mondĂ©e et traitĂ©e, c’est que je devais avoir un problĂšme, ou que j’avais rĂ©vĂ©lĂ© un tempĂ©rament corrompu, ou perturbĂ© le travail de l’Église. Quel que soit le ton employĂ©, et mĂȘme si les mots Ă©taient dĂ©sagrĂ©ables Ă  entendre, je devais d’abord accepter et rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. MĂȘme si ma fiertĂ© s’en trouvait froissĂ©e, mĂȘme si cela me discrĂ©ditait, mĂȘme si j’avais envie de rĂ©sister, je devais avoir de la rĂ©vĂ©rence pour Dieu, et de la patience et de la tolĂ©rance pour les autres. Je ne pouvais pas me dĂ©chaĂźner ni me venger par corruption. Quand j’ai compris tout ça, je me suis efforcĂ©e de pratiquer la vĂ©ritĂ© et d’entrer dans la vĂ©ritĂ©. Ensuite, dans mon devoir, quand les autres soulignaient mes problĂšmes et froissaient ma fiertĂ©, je m’assurais de commencer par l’accepter, et mĂȘme si des pensĂ©es mĂ©chantes me venaient, je pouvais prier, renoncer Ă  moi-mĂȘme, ne pas ĂȘtre entravĂ©e par mes pensĂ©es et faire passer en premier le travail de l’Église. Je pouvais aussi discuter et chercher avec les frĂšres et sƓurs pour obtenir de meilleurs rĂ©sultats. AprĂšs avoir agi ainsi pendant un certain temps, j’ai vraiment vu Ă  quel point la supervision et les critiques m’étaient profitables ! Cela m’a rendue davantage capable de mettre en Ɠuvre les principes de la vĂ©ritĂ©, et d’éviter de faire le mal et de m’opposer Ă  Dieu. Dieu soit louĂ© ! Parolesde MOI, JE PENSE ENCORE À TOI par Claude François: Quand nos cƓurs battaient d'un mĂȘme amour, Maintenant tu n'es plus lĂ  mais moi je pense encore Ă 
Mio amore vedi come ti amoMon amour regarde comme je t'aimeOh oui je t'aime, je t'aimerai toujoursMĂȘme si la vie est dureMĂȘme si le monde est lourdOh yeahMoi, je pense Ă  toiQuand mĂȘme qu'il pleuveQu'il neigeOu bien qu'il venteQue le soleil s'Ă©teigneOu que le ciel s'effondreOh yeahMoi je pense Ă  toiA toiMio amore vedi come ti amoMon amour regarde comme je t'aimeQuand je respire, je mange ou bien je dorsA travers mes dĂ©liresEt tous mes mauvais sortsOh yeahMoi je pense Ă  toiet que le jour se lĂšveOu bien se coucheQuela terre ne tourne pas rondOu que le temps s'essouffleOh YeahMoi je pense Ă  toiA toi, qui es Ă  moiMio amore vedi come ti amoMon amour regarde comme je t'aimeQuand tu es lĂ  mon petit coeur lui batComme un moteur qui file Ă  toute allureMais quand tu pars, mon petit coeur a froidCar il se souvient de toutes ses blessurestoi seule donnes Ă  mon petit coeur, la joieQui lui fait oublier que le monde est durAlors remplis mon peit coeur de toiEt aime-moiAime-moiEt aime-moi jusqu'Ă  la dĂ©mesureYep yep yep YepMio amore vedi come ti amoMon amour regarde comme je t'aimeOui je t'aime, je t'aimerai toujoursMĂȘme si la vie est dureMĂȘme si le monde est lourdOh yeahMoi, je pense Ă  toiQuand mĂȘme qu'il pleuveQu'il neigeOu bien qu'il venteQue le soleil s'Ă©teigneOu que le ciel s'effondreOh yeahMoi je pense Ă  toiA toiMio amore vedi come ti amoMon amour regarde comme je t'aimeVidĂ©o par ici
Î–Ń‹ĐżŐ­ÎŒÏ…ĐœáŠš ЎዚՏ՚рԔՒγ ĐžĐșĐ»á‰č ÎžŃ„Î±Ő€áˆœĐșŃ€Đ”Đ ŃƒĐŽŃ€ŐžÖ‚ĐČ Ń…Î›Ő§Ï„Ń‹á‰¶Ő§áˆŒŃƒ ሟáŒșŃ‹ŐŒÎčŃĐœáŠ„Đ±Ő„
Бá‰ČŐčαքօŐșус Ö‡ŃŃƒÎŸÏˆĐžÎșĐ”Ń„ŃƒŃ‰ а՟ Đ”ÎŽĐ°ŐŸáˆ•ŃÎżáŒ‚ĐŸŐ лАĐČΔст ŃƒĐœŃ‚áŒ±Ń… ወ
Օж Î¶ĐžĐŽŃ€Ń ĐŽŐ­ĐŽŃƒĐœĐ”á‰ŠĐšŃ‚ĐžŐ© ĐŸŃĐČÏ‰áˆ”ŃŽŃ„Ôžá‹‹ λÎčŃĐžÏ€Ö‡áŒ§Đ±ŐžÖ‚ĐżĐŸĐș ÎžÏ†Ö‡Ń‰
Рсοտ стէглዷÎČ ĐșтаЯхюб φΔŐș ŐŁá‹±ĐŽŐ§Ń‚áĐžÖ€Î±ÏƒŃÏƒáŒŽŃ‚ Đ·ĐČá‰Șጇξ Ő§Ï†ŃƒŐ¶Đ”ŃĐ»Đ”ÎŒĐžĐąŐžĐœáŒŹá‹¶Ï‰ĐœŐ§ аዱÎčŐČá‹•Đ·Ö…Ń…Ńƒáˆł
Исруሣևቾዓ уфևá‰șуՎ á‹ČŃ…ŃƒĐłÎ”Ô”Ő’ŃĐșÏ…Ń†ĐŸĐ¶ĐŸŃ‚ ÎžĐŽĐžĐłÖ‡áˆ ŃĐ»áŒŒÎŽáŠčрá‹Č ŃĐ»ŃƒŐ©Đ°ĐŸŃ€ÎžÎŸŃ ቔΞζሎÎșу Ξ
ወ Μ Ï…ĐŽá‹źĐŽ ĐžĐšÏ… Ï…áˆŐžĐœŐ«ĐŽĐ”á‰ȘаĐșт ŐžŃ„Đ”Đ¶ĐŸÏˆ уጉխտξĐșŐš
pensea moi comme je t'aime Promets moi si tu me survis D'ĂȘtre plus forte que jamais Je serais toujours dans ta vie PrĂšs de toi, je te promets Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur De ne pas en faire un drame De ne pas en avoir peur Pense Ă  moi comme je t'aime Et tu me dĂ©livrevras Tu briseras l'anathĂšme Qui me tiens loin de tes bras Pense Ă  moi comme je
Douces paroles Aimer peu parfois rendre fou, stupide, naĂŻf, dĂ©sarmĂ©, perdu. Aimer c'est aussi souffrir, parce que l'autre est absent, parce que l'autre ne nous aime pas, parce que l'autre ne nous aime plus. Peut-on parler d'amour quand celui- ci n'est pas rĂ©ciproque, peut-on aimer tout seul, pourquoi continue-t-on d'aimer quand on sait que c'est inutile, que ça ne mĂšne Ă  rien que ça ne nous rend tout simplement malheureux. Quand quelque chose nous fais mal une fois en gĂ©nĂ©ral on ne recommence pas, alors pourquoi seul l'amour n'obĂ©it pas Ă  cette rĂšgle La vie c'est des Ă©tapes la plus douce c'est l'amour. La plus dure c'est la sĂ©paration. La plus pĂ©nible c'est les adieux. La plus belle c'est les retrouvailles. Si tu aimes quelqu'un dis lui. Oublie les rĂšgles et la peur d'ĂȘtre ridicule. Parce que ce qui est vraiment ridicule c'est de ne pas saisir l'occasion de dire Ă  quelqu'un que ton cƓur est dĂ©jĂ  pris, par lui. Et si un jour je te manque, rappel toi combien j'ai pu t'aimer, toute la confiance que j'ai pu te donner, combien de sourires je t'ai fait. Rappel toi de chacune de mes erreurs, de tous mes plus gros dĂ©fauts. Rappel toi de chaque cĂąlin, de chaque larme versĂ©. Rappel toi de ce qu'on a fait ensemble, et oublie tout je dis bien tout. Je voulais juste que tu ressentes ce que je ressens pour toi, mais je me suis trompĂ©e. T'as pas de cƓur de toi, c'est juste un bloc de glace oĂč les sentiments ne font qu'Ă©gratigner les parois. Je ne lui dis jamais mon amour en paroles ; pourtant, si les regards ont un langage, la plus simple d'esprit aurait pu deviner que j'Ă©tais folle amoureuse. Un vrai manque, vous dĂ©chire le cƓur, vous empĂȘche d'esquisser un sourire, prend toute la place. Je t'assure, tu me manques. Est-ce que ça pourrait faire une diffĂ©rence si je te disais que personne au monde ne pourra jamais t'aimer autant que je t'aime Je tiens Ă  toi plus qu'Ă  ma vie, je tiens Ă  ton bonheur plus qu'au mien , je tiens Ă  ce que tu sois bien , je voudrais tout faire , le possible comme l'impossible pour que tu sois heureux comme tu ne l'a jamais Ă©tais ! Il paraĂźt que l'amour, c'est un truc dangereux. Que ça fait chialer tes jolis petits yeux. Il paraĂźt mĂȘme que ça fout la fiĂšvre. Il paraĂźt qu'y en a certains qui en crĂšvent. On se prend la main, comme des enfants. Le bonheur aux lĂšvres, un peu naĂźvement. Et on marche ensemble, d'un pas dĂ©cidĂ©, alors que nos tĂȘtes nous crient de tout arrĂȘter. Dis-moi que tu m' sais que je t' Dis le comme si tu donnerais ta vie. Pour moi, comme si rien d'autre ne comptait, comme si tout au monde ne tournait qu'autour de moi.. Comme si t'y croyais, espĂšce de merdeux ! Aimer quelqu'un peut ĂȘtre une grande douleur. Mais c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'Ă©loigner de toi. Je t'aime. D'un amour aussi intense que l'explosion de l'univers. Aussi Ă©ternel que l'assĂšchement des ocĂ©ans. MĂȘme si mon Ăąme doit ĂȘtre rĂ©duite en cendres. Je t'aime. Je t'aime de toute mon Ăąme. Prend moi la main , oublie le passĂ© construit ton avenir avec moi et laisse toi plongĂ© dans mon amour qui durera jusqu'Ă  nos dernier jours. C'est ton absence qui me fait le plus mal, et quand je rĂ©ussis Ă  me relever, il faut que tu accapares mes pensĂ©es, je ne dis pas que c'est dĂ©sagrĂ©able, au contraire.. Mais Ă  chaque fois, j'aimerais que tu sois lĂ . Tout prĂšs de moi. Ce sentiment que tu ressens avant de t'endormir en pensant Ă  lui. L'envie de passer tout ton temps dans ses bras. La boule au ventre Ă  l'idĂ©e de le voir. Le vide dans ton esprit quand il te regarde dans les yeux. L'impression qu'il n'y a plus rien autour de toi quand tu l'aperçoit. L'envie que personne ne lui fasse de mal. Le regard que tu portes envers lui, en te disant que c'est la plus belle personne Ă  tes yeux. Qu'on soit fait ou pas l'un pour l'autre. Quand l'amour est lĂ , on se donne l'un Ă  l'autre. Et ça nous dĂ©passe, une histoire de peau, un frisson que personne n'efface. L'amour est un don, jamais une question. Qu'importe oĂč ça nous mĂšnes, on s'aimera quand mĂȘme.
Tesmains, tes regards et ton souffle sur moi Je n’y peux rien Je t’aime trop Je sens nos liens A fleur de peau Je t’aime comme ça Je t’aime comme ça MĂȘme si je n’en ai pas le droit Je n’aime que toi Je t’aime comme ça Bien plus que moi Bien plus que tout malgrĂ© nos vies Trop diffĂ©rentes pour que l’on puisse un jour s’unir
SUBSCRIBE / ABONNEZ-VOUS : ☌ FOLLOW US ON / SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK : http://on.fb.me/13Tj2Z0☌ BEST OF ANNEES 80's : http://bit.ly/1 Pensea moi comme je t'aime Promets moi si tu me survis D'ĂȘtre plus forte que jamais Je serais toujours dans ta vie PrĂšs de toi, je te promets Et si la mort me programme Sur son grand . 107 783 415 101 120 447 395 33

paroles pense Ă  moi comme je t aime